* Compilation de liens avec en photo couverture des livres sur divers sujets (économique, politique, covid 19, santé, recettes véganes, antispécisme, paranormal, écologie, et cetera) : https://diaspora-fr.org/posts/7537499
Extraits : « Quand je suis arrivée en France de mon Chili natal, au début des années 1980, j’entendais souvent cette phrase : « L’Amérique est en avance. » J’avais beau n’avoir que dix piges, et scotcher sur Starsky et Hutch le dimanche comme tous les gosses, le terreau culturel et politique où j’avais poussé m’avait déjà appris à me méfier des phrases inachevées. Je pensais : « Pourquoi ils appellent “Amérique” les USA ? » Et puis « En avance ?… OK, mais pour aller où ? » Aujourd’hui, nous connaissons la destination du « rêve américain », puisque nous y sommes. Un monde où 85 hommes détiennent autant de richesses que la moitié de la population mondiale, mais où la lutte des classes fait office de relique ; un monde où, dans un des cinq pays les plus riches et « développés », la France, pour ne pas la nommer, une femme meurt tous les trois jours sous les coups d’un homme de son entourage ; un monde où la blancheur de la peau demeure la meilleure protection contre les crimes policiers1 ; un monde où la planète est si polluée que les cordons ombilicaux sont saturés de pesticides, où des écosystèmes sont ravagés et des catastrophes qualifiées de « naturelles », un monde où l’on assiste à la catastrophe humanitaire de millions de migrants cherchant refuge auprès d’une Europe opulente et amnésique, à la privatisation des biens publics et la publication de la privacité, à l’atomisation des sociabilités, à l’anomie et à la solitude des métropoles, à la menace terroriste amplifiée par les États qui y trouvent une formidable aubaine pour faire passer leurs réformes impopulaires et criminaliser toute forme de radicalité… Bref, une ploutocratie préfasciste, dont Trump est la parfaite illustration. »
« Pour nous, activistes décoloniales, il est clair que nous sommes en plein virage — d’où les nombreuses sorties de route. Et nous savons aussi que nous ne verrons pas l’aboutissement de notre vivant de ce tournant ; nous avons aussi tout à fait conscience que l’on n’abat pas un système vieux de 524 ans en quelques décennies : il est question de changement de paradigmes et d’échelles, de valeur, et de grandeur. Mais pour nous, une chose est certaine, c’est que s’il reste une chance à ce monde globalisé de se métamorphoser (comme le souhaite Edgar Morin) ou (comme ambitionne de faire la revue Ballast) de rassembler ce qu’il y a de plus fécond dans les trois principaux mouvements d’émancipation nés en Europe dans le giron de la révolution industrielle — le communisme, le socialisme et l’anarchisme —, il va falloir composer avec ce qui pour nous est et sera la grande aspiration révolutionnaire du XXIe siècle, c’est-à-dire la décolonialité. Peut-être même que nous finirons par adopter un suffixe en -isme, et ce dans l’objectif clair et précis de rénover les utopies et de détruire le système capitaliste-racial-patriarcal. Cette chimère à trois têtes qui sait parfaitement s’adapter à tous les contextes humains, polymorphe et coriace, changeant d’apparence en fonction de l’environnement et des situations. Attaquées séparément, une des trois têtes prend les commandes, visibilisant un type de domination, les deux autres mises en sourdine continuent à nourrir celle qui fait face tout en assurant les arrières : combattues isolément, les trois têtes constituent une entité invincible. Nous, nous vous proposons de « faire d’une pierre trois coups » en visant le cœur de ce monstre qui terrorise nos vies depuis si longtemps, pour enfin changer d’ère. Rien de moins. »
Présentation : Nicolas va rencontrer la famille de sa fiancée Victoire. Pour leur plaire, il va devoir jouer à un jeu de société qui dure depuis des générations.
Extrait : « Que reste-t-il contre les avancées de ce racisme, de la violence, de la confessionnalisation des luttes, contre cette pseudo-libre concurrence source de paupérisation absolue, contre la bêtise politicienne électoraliste ?
Affirmer, à notre tour, l’unité du monde mais sans exiger que pour y vivre, il faille être « comme tous les autres ! ». Le monde unique est au contraire le lieu où existe « l’infinité des différences », source d’un irremplaçable échange d’expériences utiles pour chacun ! »
Introduction : « Depuis 15 ans, Dominique Lestel critique le discours philosophique traditionnel sur les animaux et pourfend l’idée qu’il y aurait « un propre de l’homme », idée qu’il qualifie de « toxique ». Il a ainsi étudié le vécu subjectif des animaux, la singularité psychologique de chaque individu. Pour Lestel, les animaux ont une vie mentale riche et les humains sont des animaux parmi les autres.
Bien souvent, adhérer à ces thèses n’empêche pas les éthologues ou les philosophes de manger de la viande. Mais ils le font généralement avec une mauvaise conscience plus ou moins prononcée. Lestel, au contraire, est fier de manger de la viande. Il va jusqu’à consacrer un pamphlet, paru en avril 2011, à « l’apologie du carnivore » et à la critique sévère des végétariens éthiques, ceux qui pensent que la consommation de viande est illégitime. Voilà qui semble bien difficile sans avoir recours à des arguments spécistes ou à des théories éthologiques surannées. Comment Lestel va-t-il s’y prendre ? »
Conclusion : « Lestel, dans ce livre, est à côté de la plaque. Son premier service sur les végétariens ne parle pas des végétariens, mais d’une caricature qui n’a pas grand chose à voir avec les végétariens réels. Ses arguments sont de grossiers sophismes fondés sur des confusions volontaires et des mensonges. Son second service consiste à appliquer l’éthique de chasseurs de subsistance à des humains qui mangent des animaux d’élevage sans aucune nécessité, par caprice. Son discours éthique est proprement délirant.
Je retiens toutefois quelque chose de positif de ce texte : quand on en est réduit à écrire tant de sophismes, de bêtises, de propos incohérents, c’est qu’on n’a pas d’argument. »
Extrait : « Le chemin de la norme est celui de la moindre résistance. Nous le suivons quand nous sommes en pilotage automatique, sans nous rendre compte que nous agissons d’une manière que nous n’avons pas consciemment choisie.
Il est beaucoup plus facile de se conformer à la norme que de la contrer. Les aliments carnés sont facilement disponibles alors qu’on ne trouve pas partout des menus sans produits animaux. Les végétariens se trouvent souvent obligés de justifier leurs choix, ou de s’excuser du dérangement causé parce qu’ils ne mangent pas comme les autres. Ils sont fréquemment caricaturés ou tournés en ridicule. »
Extrait : « Nous faisons la déclaration suivante : « L’absence de néocortex ne semble pas empêcher un organisme d’éprouver des états affectifs. Des données convergentes indiquent que les animaux non-humains possèdent les substrats neuroanatomiques, neurochimiques et neurophysiologiques des états conscients, ainsi que la capacité de se livrer à des comportements intentionnels. Par conséquent, la force des preuves nous amène à conclure que les humains ne sont pas seuls à posséder les substrats neurologiques de la conscience. Des animaux non-humains, notamment l’ensemble des mammifères et des oiseaux ainsi que de nombreuses autres espèces telles que les pieuvres, possèdent également ces substrats neurologiques. » »
Introduction : « L’anthropologue Claude Lévi-Strauss estimait que « l’homme a resserré trop près de lui-même les frontières de son humanité ». À ne plus appréhender le monde qui nous entoure autrement que par ce que nous pouvons y prendre, nous n’avons de cesse de surexploiter le milieu naturel et de menacer sa capacité de régénération. Aurélien Barrau, astrophysicien, chercheur et auteur de l’essai Des univers multiples, est de ceux qui regardent avec la même passion le très lointain — des trous noirs à la gravité quantique — comme ce que, juste à nos côtés, nous refusons trop souvent de voir : le sort infligé aux animaux afin qu’ils puissent régaler nos assiettes. C’est sur ce dernier sujet, très précisément, que nous avons tenu à l’interroger. »
Introduction : « Bien sûr, nous condamnons tous l’exploitation économique, le racisme, la domination masculine et l’homophobie. Bien sûr. Mais cette évidence de la lutte s’effondre dès lors qu’il est question des animaux : la dignité, bien sûr, mais seulement pour le petit cercle des humains. Les victimes de l’exploitation animale sont autrement plus nombreuses, pourtant, que celles causées par les abominations sus-mentionnées — on dira, offusqué, que ce n’est « pas pareil ». Ça ne l’est pas, en effet : les hommes oppriment au grand jour leurs semblables mais suppriment les bêtes à l’ombre — les sociétés industrialisées, supposément transparentes et hostiles à la violence, planquent leurs abattoirs. Ce mois-ci, plusieurs manifestations (à Paris, Kyoto, Sydney, Los Angeles ou Buenos Aires) ont exigé leur fermeture. Le romancier Vincent Message monte au front avec Défaite des maîtres et possesseurs : ses pages mettent en scène un futur proche, si proche qu’on peine à le situer, dans lequel l’Homo sapiens n’est plus l’espèce dominante. Une autre, « supérieure », traite les humains de la même façon que nous traitons les animaux au quotidien. Un roman, proche du conte philosophique, qui appelle à penser l’émancipation dans toute sa cohérence. »
Extrait : « L’équipe de l’Oxford Martin School a donné les résultats de son étude dans une revue scientifique américaine sérieuse (la PNAS). Elle dit aussi que réduire grandement la consommation de viande pourrait permettre d’économiser presque 1,9 mille milliards d’euros si l’on prend en compte tous les dégâts liés au changement du climat.”
“L’étude montre que si tous les habitants du monde adoptaient un régime plus équilibré, avec moins de viande et plus de fruits et légumes, 5,1 millions de décès seraient évités. Ce chiffre monte à 7,3 millions si nous adoptions tous un régime végétarien, et à 8,1 millions si nous devenions tous végétaliens.
Un régime plus équilibré permettrait aussi de réduire de deux tiers les émission de gaz à effet de serre et de diminuer les émissions liées à la production alimentaire de 30 % ; cela monterait à 63 % avec un régime végétarien et à 70 % avec un régime végétalien. »
* « Rien ne pourra être plus bénéfique à la santé humaine, ni accroître les chances de survie de la vie sur la Terre, qu’une évolution vers un régime végétarien. »
– Albert Einstein
Lorsqu’il est incarcéré en Afrique du Sud, en l909, Gandhi (1869-1948) lit du Tolstoi. Il considère ce dernier comme « l’homme le plus véridique de son temps », déclarant même que « la Russie lui avait donné en Tolstoi, un gourou». Peu après sa sortie de prison Gandhi fonda « Tolstoy Farm » (La Ferme de Tolstoi) près de Johannesburg, une commuauté rurale dédiée à l’ahimsa. Au nom de la non-violence, la nourriture y est végétarienne et la chasse interdite. Tout comme Tolstoi, Gandhi pensait que toutes les violences sont liées et que le « meurtre d’une vache et le meurtre d’un homme sont les deux côtés de la même médaille. »
Une des dernières lettres de Tolstoi est datée du 7 septembre 1910 et s’adresse à Gandhi. Cette longue missive est presque comme un testament sur son refus absolu de la violence basée sur le droit du plus fort. Que faire, se demande Tolstoi, contre la « criminalité qui augmente, le chômage, le luxe grandissant, insensé, des riches et la misère des pauvres, le nombre croissant des suicides ? » Il n’y a qu’une solution, écrit-il à Gandhi, celle de la « reconnaissance de la loi d’amour et du refus de toute violence….car l’amour est la loi supérieure, unique de la vie humaine ».
Pour ce Tolstoi si proche de la mort, pour l’anarchiste, le rebelle qui pendant toute sa vie a refusé l’autorité, l’exploitation et l’asservissement des plus vulnérables, ne compte plus que l’ultime pouvoir que les humains possèdent tous, en leur âme et conscience : celui de se libérer et de libérer tous les êtres vivants. »
Pour ceux qui découvrent Personne et son journal, et pour ceux qui n’auraient pas encore fait le tour des archives, vous trouverez plus de 1000 billets-vidéos sur la chaîne youtube : http://www.youtube.com/user/lejournaldepersonne
* Personne s’autoproduisant, elle ne peut compter que sur notre soutien, le soutien des internautes, alors si vous en avez l’élan, pour soutenir Personne et le film “Le procès d’un procès” vous pouvez devenir coproducteur donateur (comprend lien d’accès à la page où vous pourrez voir le film) : http://www.lejournaldepersonne.com/campagne-de-soutien-film-proces-dun-proces/
Présentation : « Il était une fois une femme rêvant de liberté, qui décida de tout quitter pour vivre simplement sous une tente fabriquée de ses mains.
Sylvie Barbe est la première femme en France à avoir vécu dans une yourtes. Défricheuse d’un mode de vie sobre et autonome elle nous parle dans ce film de son bonheur d’avoir réussi à incarner son rêve d’intégrité et de cohérence. Elle témoigne de son expérience et nous dévoile comment la yourte peut sauver du désespoir et restaurer la dignité.
On découvre comment on peut vivre dans une grande simplicité, en ne consommant que des énergies autonomes et renouvelables, dans un grand respect de la nature, sans coopération avec le consumérisme et en intégrant au quotidien la poésie dans sa vie. Elle nous parle de sa solitude, de son exigence, de sa rencontre avec elle même, de son droit à la colère. C’est ainsi qu’un chemin vers l’éveil s’est tracé. »
* Human : VOL.1 sur les thèmes de l’amour, des femmes, du travail et de la pauvreté : https://youtu.be/FLqft-ICVQo
Présentation de la trilogie : « Qu’est-ce qui nous rend humains ? Est-ce le fait d’aimer, est-ce le fait de lutter ? Le fait de rire ? De pleurer ? Notre curiosité ? Notre quête de découvertes ?
Poussé par ces questions, le réalisateur et photographe Yann Arthus-Bertrand a passé trois années à collecter les histoires de 2 000 femmes et hommes dans 60 pays. Avec son équipe passionnée de traducteurs, journalistes et cameramen, Yann a capturé en profondeur les émotions et les sujets qui nous unissent tous : les luttes contre la pauvreté, la guerre, l’homophobie et le futur de notre planète, mêlées à des moments d’amour et de bonheur. »
Présentation : « Matthieu Ricard aborde d’une façon remarquable les notions d’altruisme, d’amour et de compassion. Ses nombreux travaux avec le monde scientifique (Mindfulness) lui permettent de nous faire part d’une multitude d’anecdotes d’une grande puissance ! »
Introduction : « Il ne faut pas désespérer des êtres humains quand les neurosciences démontrent que l’empathie – qui ne se réduit pas à la capacité à se mettre à la place d’autrui et l’altruisme - cette propension désintéressée à se consacrer aux autres – ont des bases biologiques universelles. Dans les laboratoires américains et allemands où les réalisateurs ont enquêté, les chercheurs mettent expérimentalement en évidence que des enfants très jeunes, des grands singes mais aussi des souris ont spontanément des comportements d’entraide non associés à une récompense. On voit notamment des bébés à partir de l’âge de trois mois à qui on présente une petit spectacle de marionnettes mettant en scène un ours en peluche aidant un congénère en difficulté et un autre disons plus méchant, choisir de garder l’ours coopérant. Cette compréhension morale élémentaire, s’il s’agit de cela, mérite de réviser ce qu’on croit savoir sur le psychisme des tout-petits et même d’enfants de 18 mois : ceux-ci arrêtent de jouer pour aider un adulte à ramasser le crayon qu’il a laissé tomber sans en avoir la moindre gratification. Qui plus est, en poursuivant l’expérience avec deux groupes distincts, ceux qui ont reçu une gratification pour cet acte altruiste finissent par aider moins que les autres ! Les psychanalystes sont toujours contents quand les neurochercheurs apportent la preuve scientifique de ce qu’ils ont constaté à savoir qu’un enfant, aussi jeune soit-il est capable, avec les moyens dont il dispose, de prendre en charge celui dont il perçoit la détresse sans rien attendre en retour. Une autre expérience fait réfléchir sur ce qui serait un trait fondamental de la nature humaine : elle montre que très précocement, les enfants divisent le monde entre ceux qui sont « comme eux » et qu’ils préfèrent et ceux qui sont différents d’eux et qu’ils excluent. »
Extrait du début : « Le système nerveux. Cette chose commune à tous les animaux, leur permettant - avant tout - de survivre. Et qui, si on suit la théorie scientifique de L’éloge de la fuite, nous guide inconsciemment dans chacune de nos actions. Rend possible toutes les stratégies de domination, matrice essentielle de compréhension de notre organisation économique et sociale, du système politique et de la société de consommation.
Le système nerveux, base d’une domination omniprésente
Chirurgien, biologiste, spécialiste du système nerveux, inventeur de drogues psychotropes, philosophe « vulgarisateur » des neurosciences… Multidisciplinaire, Henri Laborit a su montrer une rare capacité d’extrapolation de sa formation scientifique afin de faire émerger une matrice de compréhension des comportements animaux et humains plus performante. Il fut le premier à exprimer l’idée que le système nerveux peut être responsable de tous nos actes, mais aussi, partant, du système de domination sociale. Et à construire toute une philosophie autour, faisant ainsi des liens uniques entre biologie animale et organisation sociale. »
* Culture en Déclin - Episode 3 - TCV : Trouble de la Consommation-Vanité (vostfr, sous-titres peuvent être à activer) :
Introduction : « L’anthropologue Claude Lévi-Strauss estimait que « l’homme a resserré trop près de lui-même les frontières de son humanité ». À ne plus appréhender le monde qui nous entoure autrement que par ce que nous pouvons y prendre, nous n’avons de cesse de surexploiter le milieu naturel et de menacer sa capacité de régénération. Aurélien Barrau, astrophysicien, chercheur et auteur de l’essai Des univers multiples, est de ceux qui regardent avec la même passion le très lointain — des trous noirs à la gravité quantique — comme ce que, juste à nos côtés, nous refusons trop souvent de voir : le sort infligé aux animaux afin qu’ils puissent régaler nos assiettes. C’est sur ce dernier sujet, très précisément, que nous avons tenu à l’interroger. »
Personne s’autoproduisant, elle ne peut compter que sur notre soutien, le soutien des internautes. Alors si vous en avez l’élan, pour la soutenir, vous pouvez devenir coproducteur donateur (comprend lien d’accès à la page où vous pourrez voir le film) du film “Le procès d’un procès” : http://www.lejournaldepersonne.com/campagne-de-soutien-film-proces-dun-proces/
Depuis hier, l’humanité aurait consommé la totalité du “budget écologique” annuel de la Terre. Si la population mondiale consommait comme la France, d’aucuns pensent que 3 planètes Terre seraient nécessaires.
Ceci dit, il me semble que le « dossier » / « problème » est à mettre en perspective avec le régime alimentaire (et mode de production), façon de faire de la politique et de mener « l’économie » (problème de l’obsolescence programmée, production dispensable pour alimenter un système de consommation-travail-consommation etc.).
* Bref, voici des compilations de docs que je vous invite à consulter :
- Selon une “étude : si tout le monde devenait végétalien, on sauverait 8 millions de vies” (7,3 avec régime végétarien) : https://framasphere.org/posts/2040790
* Je vous invite encore et toujours à soutenir Personne, Artiste qui info-scénarise des questions de société et d’actualité avec talents. A voir notamment son billet pour les jeux olympiques :
Comme elle s’autoproduit, elle ne peut compter que sur notre soutien, le soutien des internautes. Alors si vous en avez l’élan, pour la soutenir, vous pouvez devenir coproducteur donateur (comprend lien d’accès à la page où vous pourrez voir le film) du film “Le procès d’un procès” : http://www.lejournaldepersonne.com/campagne-de-soutien-film-proces-dun-proces/
* Quelques liens poèmes, textes de moi (via liens sur Facebook et Framasphere, mais même si vous n’y avez pas de compte vous devriez pouvoir y accéder, les lire) :
Description : « Terriens », véritable film coup de poing sur la manière dont les humains traitent les animaux.
Le narrateur est Maxime Ginolin, à qui l’on doit le film « Le Jugement », et la musique est signé par Moby.
« Terriens » traite de la dépendance économique absolue que l’Humanité entretient vis à vis des animaux utilisés pour la compagnie, la nourriture, les vêtements, le divertissement et pour la recherche scientifique.
Le film révèle les pratiques quotidiennes de certaines des plus grandes industries mondiales, dont la totalité des profits est réalisée grâce aux animaux.
Puissant, instructif, et incitant à la réflexion, « Terriens » est de loin le documentaire le plus complet jamais réalisé sur les relations entre la nature, les animaux et les intérêts économiques des humains.
Sorti il y a plusieurs années aux États-Unis, »Terriens » est devenu la référence ultime internationale sur la cause animale.
Il est aujourd’hui, tristement toujours aussi d’actualité.
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