Citoyens, citoyennes, à la paix, à la paix, à la paix, ne suivez pas la haine, belligérants, laissez de côté,
Faites place nette, beau lieu, s’écumer les peines jusqu’à ce que vos têtes soient à la saveur des cieux ;
Citoyennes, citoyens, informez-vous sur les soucis qui mettent en péril les vies de causes à effets, en liens :
Tels que l’écocide, les plastiques à la mer et autres dérèglements de l’environnement, du fait d’une économie non économique, de sang, et de médias faiseurs de guerres ;
Femmes et hommes, humanité, à la paix, à la paix, à la paix, comprenez l’essence du véganisme, l’état d’esprit de l’antispécisme :
La possibilité de se nourrir sans faire directement ou indirectement mourir, en respectant toute la nature, ainsi forgée une belle culture ;
Hommes et femmes, humanité, comprenez la nécessité d’une évolution en harmonie des bases, de faire, de « bêtises », table rase,
Pour mettre fin aux guerres, à ce qui fait tomber des bombes, renforce les effets des trombes, et qu’advienne une ère de paix sur terre.
Pourquoi être vegan ? : Si vous souhaitez avoir un impact positif pour les ANIMAUX, la préservation de la PLANÈTE et votre SANTÉ, le véganisme est la solution ! : https://www.veganimpact.com/pourquoi-etre-vegan
* A propos des soucis énergétiques : LE TRAITÉ DE NON-PROLIFÉRATION DES COMBUSTIBLES FOSSILES : https://fossilfueltreaty.org/fra
* A propos des soucis pour la Biodiversité, crise climatique, écocide et idées de solutions, et cetera : https://diaspora-fr.org/posts/7656519
* « Donella Meadows : On m’a demandé de parler des systèmes et de la durabilité pour dire comment pouvons-nous vivre de bonnes vies pour tout le monde sur cette planète d’une manière qui préserve le fonctionnement de la planète et de toutes les autres créatures. Dans la mesure où j’ai un rôle, je suppose que c’est d’essayer de le voir dans son ensemble, d’essayer de voir les systèmes dans leur ensemble. C’est en grande partie parce que j’ai rencontré au début de ma vie des gens qui avaient des outils système et qui m’ont appris à les utiliser pour imaginer, penser, simuler pour comprendre les systèmes dans leur ensemble.
Et c’est principalement ce dont je vais parler aujourd’hui, mais je suppose que je devrais commencer par parler de durabilité. Je suis sûr que vous avez entendu un million de définitions. Je vais utiliser les définitions très strictes que Herman Daly vous a déjà données, je suppose, les trois nécessités biophysiques de la durabilité très clairement : (1) Chaque ressource renouvelable doit être utilisée à ou en dessous du taux auquel elle peut être régénérée ou peuvent se régénérer, c’est-à-dire les sols, les eaux, les forêts - sont une base de ressources renouvelables. »
* Pour ceux qui ne le sont pas encore (végans) et qui voudraient au moins tenter l’expérience, je ne me suis pas inscrit à leur programme, je m’étais informé de mon côté et je suis devenu végétalien vegan bien avant qu’ils le mettent en place, mais semble être très utile pour les débutants, se lancer : Veggie Challenge de l’association L214 (pour aider ceux que veulent s’y essayer, recevoir divers conseils par mail) : https://vegan-pratique.fr/veggie-challenge/
En bref : « Les protéines sont présentes dans la totalité des végétaux (hors huiles et sucres) et tout particulièrement dans les légumineuses, les oléagineux, le seitan et les céréales, autant d’aliments avec lesquels il est facile de composer une infinité de plats savoureux et pleins d’énergie.
Il est nécessaire de varier son alimentation sur plusieurs jours. De cette manière, une alimentation végétale équilibrée couvre sans difficulté tous nos besoins en protéines, et ce même pour les sportifs. »
Vous trouverez aussi diverses informations sur le site de l’association Vegan Impact : Le guide de l’alimentation végétalienne : https://www.veganimpact.com/guide-vegan
Je regarde le monde,
les lectures d’ondes,
l’inconscience générale,
du bien, du mal ;
Je pense, je songe,
les sillons d’hiers
causer les guerres,
système délétère ronge ;
Les aujourd’hui
préparer les demains, les paver,
qui comprend les soucis,
les fautes de l’humanité ?
Le cause à effets d’une culture,
de l’économie non économique,
de la source du manque d’éthique,
envers d’autres humains, les animaux non humains et la nature ;
Sans compter que si tout le monde, dans les dédales,
devait consommer tels des occidentaux
dans un cadre capitaliste, néolibéral,
il faudrait plusieurs planètes, maux ;
Et pendant que l’attention
se porte vers l’Orient, sans mue,
l’insoutenabilité continue,
il faudrait une révolution ;
Une voix me dit que beaucoup
en ont conscience,
que beaucoup en maîtrisent la science,
même si les gouvernants guerroient
Et qu’ils freinent l’envol du phénix,
l’espoir est de mise,
haut les cœurs, cieux frise,
dépassons, transcendons les rixes ;
In fine, il faudra bien,
un jour ou l’autre, une révolution,
un changement de production-consommation,
au niveau systémique, enfin, l’humanité en soin.
* A voir aussi concernant les soucis de civilisation : InterReflections a maintenant aussi des sous-titres français (cliquer sur “CC” pour activer des sous-titres français ou d’une autre langue), ce film synthétise diverses thèses : https://www.interreflectionsmovie.com/
* A propos des soucis pour la Biodiversité, crise climatique, écocide et idées de solutions, et cetera : https://diaspora-fr.org/posts/7656519
* A propos du souci économique, écologique, politique et éthique, de la cause animale, la cause palestinienne, un article où est abordé la critique de la part de certains et l’intérêt du veganisme : https://www.revue-ballast.fr/jerome-segal-qui-sont-les-animaux/
* Pour ceux qui ne le sont pas encore (végans) et qui voudraient au moins tenter l’expérience, je ne me suis pas inscrit à leur programme, je m’étais informé de mon côté et je suis devenu végétalien vegan bien avant qu’ils le mettent en place, mais semble être très utile pour les débutants, se lancer : Veggie Challenge de l’association L214 (pour aider ceux que veulent s’y essayer, recevoir divers conseils par mail) : https://vegan-pratique.fr/veggie-challenge/
En bref : « Les protéines sont présentes dans la totalité des végétaux (hors huiles et sucres) et tout particulièrement dans les légumineuses, les oléagineux, le seitan et les céréales, autant d’aliments avec lesquels il est facile de composer une infinité de plats savoureux et pleins d’énergie.
Il est nécessaire de varier son alimentation sur plusieurs jours. De cette manière, une alimentation végétale équilibrée couvre sans difficulté tous nos besoins en protéines, et ce même pour les sportifs. »
Vous trouverez aussi diverses informations sur le site de l’association Vegan Impact : Le guide de l’alimentation végétalienne : https://www.veganimpact.com/guide-vegan
* Compilation de liens avec en photo couverture des livres sur divers sujets (économique, politique, covid 19, santé, recettes véganes, antispécisme, paranormal, écologie, et cetera) : https://diaspora-fr.org/posts/7537499
Sur cette liste, les recettes sont listées en-dessous des photos, avec lien qui amène pour certaines sur page où il y a plusieurs, parmi un menu.
Extraits : « Quand je suis arrivée en France de mon Chili natal, au début des années 1980, j’entendais souvent cette phrase : « L’Amérique est en avance. » J’avais beau n’avoir que dix piges, et scotcher sur Starsky et Hutch le dimanche comme tous les gosses, le terreau culturel et politique où j’avais poussé m’avait déjà appris à me méfier des phrases inachevées. Je pensais : « Pourquoi ils appellent “Amérique” les USA ? » Et puis « En avance ?… OK, mais pour aller où ? » Aujourd’hui, nous connaissons la destination du « rêve américain », puisque nous y sommes. Un monde où 85 hommes détiennent autant de richesses que la moitié de la population mondiale, mais où la lutte des classes fait office de relique ; un monde où, dans un des cinq pays les plus riches et « développés », la France, pour ne pas la nommer, une femme meurt tous les trois jours sous les coups d’un homme de son entourage ; un monde où la blancheur de la peau demeure la meilleure protection contre les crimes policiers1 ; un monde où la planète est si polluée que les cordons ombilicaux sont saturés de pesticides, où des écosystèmes sont ravagés et des catastrophes qualifiées de « naturelles », un monde où l’on assiste à la catastrophe humanitaire de millions de migrants cherchant refuge auprès d’une Europe opulente et amnésique, à la privatisation des biens publics et la publication de la privacité, à l’atomisation des sociabilités, à l’anomie et à la solitude des métropoles, à la menace terroriste amplifiée par les États qui y trouvent une formidable aubaine pour faire passer leurs réformes impopulaires et criminaliser toute forme de radicalité… Bref, une ploutocratie préfasciste, dont Trump est la parfaite illustration. »
« Pour nous, activistes décoloniales, il est clair que nous sommes en plein virage — d’où les nombreuses sorties de route. Et nous savons aussi que nous ne verrons pas l’aboutissement de notre vivant de ce tournant ; nous avons aussi tout à fait conscience que l’on n’abat pas un système vieux de 524 ans en quelques décennies : il est question de changement de paradigmes et d’échelles, de valeur, et de grandeur. Mais pour nous, une chose est certaine, c’est que s’il reste une chance à ce monde globalisé de se métamorphoser (comme le souhaite Edgar Morin) ou (comme ambitionne de faire la revue Ballast) de rassembler ce qu’il y a de plus fécond dans les trois principaux mouvements d’émancipation nés en Europe dans le giron de la révolution industrielle — le communisme, le socialisme et l’anarchisme —, il va falloir composer avec ce qui pour nous est et sera la grande aspiration révolutionnaire du XXIe siècle, c’est-à-dire la décolonialité. Peut-être même que nous finirons par adopter un suffixe en -isme, et ce dans l’objectif clair et précis de rénover les utopies et de détruire le système capitaliste-racial-patriarcal. Cette chimère à trois têtes qui sait parfaitement s’adapter à tous les contextes humains, polymorphe et coriace, changeant d’apparence en fonction de l’environnement et des situations. Attaquées séparément, une des trois têtes prend les commandes, visibilisant un type de domination, les deux autres mises en sourdine continuent à nourrir celle qui fait face tout en assurant les arrières : combattues isolément, les trois têtes constituent une entité invincible. Nous, nous vous proposons de « faire d’une pierre trois coups » en visant le cœur de ce monstre qui terrorise nos vies depuis si longtemps, pour enfin changer d’ère. Rien de moins. »
Présentation : Nicolas va rencontrer la famille de sa fiancée Victoire. Pour leur plaire, il va devoir jouer à un jeu de société qui dure depuis des générations.
Extrait : « Que reste-t-il contre les avancées de ce racisme, de la violence, de la confessionnalisation des luttes, contre cette pseudo-libre concurrence source de paupérisation absolue, contre la bêtise politicienne électoraliste ?
Affirmer, à notre tour, l’unité du monde mais sans exiger que pour y vivre, il faille être « comme tous les autres ! ». Le monde unique est au contraire le lieu où existe « l’infinité des différences », source d’un irremplaçable échange d’expériences utiles pour chacun ! »
Introduction : « Depuis 15 ans, Dominique Lestel critique le discours philosophique traditionnel sur les animaux et pourfend l’idée qu’il y aurait « un propre de l’homme », idée qu’il qualifie de « toxique ». Il a ainsi étudié le vécu subjectif des animaux, la singularité psychologique de chaque individu. Pour Lestel, les animaux ont une vie mentale riche et les humains sont des animaux parmi les autres.
Bien souvent, adhérer à ces thèses n’empêche pas les éthologues ou les philosophes de manger de la viande. Mais ils le font généralement avec une mauvaise conscience plus ou moins prononcée. Lestel, au contraire, est fier de manger de la viande. Il va jusqu’à consacrer un pamphlet, paru en avril 2011, à « l’apologie du carnivore » et à la critique sévère des végétariens éthiques, ceux qui pensent que la consommation de viande est illégitime. Voilà qui semble bien difficile sans avoir recours à des arguments spécistes ou à des théories éthologiques surannées. Comment Lestel va-t-il s’y prendre ? »
Conclusion : « Lestel, dans ce livre, est à côté de la plaque. Son premier service sur les végétariens ne parle pas des végétariens, mais d’une caricature qui n’a pas grand chose à voir avec les végétariens réels. Ses arguments sont de grossiers sophismes fondés sur des confusions volontaires et des mensonges. Son second service consiste à appliquer l’éthique de chasseurs de subsistance à des humains qui mangent des animaux d’élevage sans aucune nécessité, par caprice. Son discours éthique est proprement délirant.
Je retiens toutefois quelque chose de positif de ce texte : quand on en est réduit à écrire tant de sophismes, de bêtises, de propos incohérents, c’est qu’on n’a pas d’argument. »
Extrait : « Le chemin de la norme est celui de la moindre résistance. Nous le suivons quand nous sommes en pilotage automatique, sans nous rendre compte que nous agissons d’une manière que nous n’avons pas consciemment choisie.
Il est beaucoup plus facile de se conformer à la norme que de la contrer. Les aliments carnés sont facilement disponibles alors qu’on ne trouve pas partout des menus sans produits animaux. Les végétariens se trouvent souvent obligés de justifier leurs choix, ou de s’excuser du dérangement causé parce qu’ils ne mangent pas comme les autres. Ils sont fréquemment caricaturés ou tournés en ridicule. »
Extrait : « Nous faisons la déclaration suivante : « L’absence de néocortex ne semble pas empêcher un organisme d’éprouver des états affectifs. Des données convergentes indiquent que les animaux non-humains possèdent les substrats neuroanatomiques, neurochimiques et neurophysiologiques des états conscients, ainsi que la capacité de se livrer à des comportements intentionnels. Par conséquent, la force des preuves nous amène à conclure que les humains ne sont pas seuls à posséder les substrats neurologiques de la conscience. Des animaux non-humains, notamment l’ensemble des mammifères et des oiseaux ainsi que de nombreuses autres espèces telles que les pieuvres, possèdent également ces substrats neurologiques. » »
Introduction : « L’anthropologue Claude Lévi-Strauss estimait que « l’homme a resserré trop près de lui-même les frontières de son humanité ». À ne plus appréhender le monde qui nous entoure autrement que par ce que nous pouvons y prendre, nous n’avons de cesse de surexploiter le milieu naturel et de menacer sa capacité de régénération. Aurélien Barrau, astrophysicien, chercheur et auteur de l’essai Des univers multiples, est de ceux qui regardent avec la même passion le très lointain — des trous noirs à la gravité quantique — comme ce que, juste à nos côtés, nous refusons trop souvent de voir : le sort infligé aux animaux afin qu’ils puissent régaler nos assiettes. C’est sur ce dernier sujet, très précisément, que nous avons tenu à l’interroger. »
Introduction : « Bien sûr, nous condamnons tous l’exploitation économique, le racisme, la domination masculine et l’homophobie. Bien sûr. Mais cette évidence de la lutte s’effondre dès lors qu’il est question des animaux : la dignité, bien sûr, mais seulement pour le petit cercle des humains. Les victimes de l’exploitation animale sont autrement plus nombreuses, pourtant, que celles causées par les abominations sus-mentionnées — on dira, offusqué, que ce n’est « pas pareil ». Ça ne l’est pas, en effet : les hommes oppriment au grand jour leurs semblables mais suppriment les bêtes à l’ombre — les sociétés industrialisées, supposément transparentes et hostiles à la violence, planquent leurs abattoirs. Ce mois-ci, plusieurs manifestations (à Paris, Kyoto, Sydney, Los Angeles ou Buenos Aires) ont exigé leur fermeture. Le romancier Vincent Message monte au front avec Défaite des maîtres et possesseurs : ses pages mettent en scène un futur proche, si proche qu’on peine à le situer, dans lequel l’Homo sapiens n’est plus l’espèce dominante. Une autre, « supérieure », traite les humains de la même façon que nous traitons les animaux au quotidien. Un roman, proche du conte philosophique, qui appelle à penser l’émancipation dans toute sa cohérence. »
Extrait : « L’équipe de l’Oxford Martin School a donné les résultats de son étude dans une revue scientifique américaine sérieuse (la PNAS). Elle dit aussi que réduire grandement la consommation de viande pourrait permettre d’économiser presque 1,9 mille milliards d’euros si l’on prend en compte tous les dégâts liés au changement du climat.”
“L’étude montre que si tous les habitants du monde adoptaient un régime plus équilibré, avec moins de viande et plus de fruits et légumes, 5,1 millions de décès seraient évités. Ce chiffre monte à 7,3 millions si nous adoptions tous un régime végétarien, et à 8,1 millions si nous devenions tous végétaliens.
Un régime plus équilibré permettrait aussi de réduire de deux tiers les émission de gaz à effet de serre et de diminuer les émissions liées à la production alimentaire de 30 % ; cela monterait à 63 % avec un régime végétarien et à 70 % avec un régime végétalien. »
* « Rien ne pourra être plus bénéfique à la santé humaine, ni accroître les chances de survie de la vie sur la Terre, qu’une évolution vers un régime végétarien. »
– Albert Einstein
Lorsqu’il est incarcéré en Afrique du Sud, en l909, Gandhi (1869-1948) lit du Tolstoi. Il considère ce dernier comme « l’homme le plus véridique de son temps », déclarant même que « la Russie lui avait donné en Tolstoi, un gourou». Peu après sa sortie de prison Gandhi fonda « Tolstoy Farm » (La Ferme de Tolstoi) près de Johannesburg, une commuauté rurale dédiée à l’ahimsa. Au nom de la non-violence, la nourriture y est végétarienne et la chasse interdite. Tout comme Tolstoi, Gandhi pensait que toutes les violences sont liées et que le « meurtre d’une vache et le meurtre d’un homme sont les deux côtés de la même médaille. »
Une des dernières lettres de Tolstoi est datée du 7 septembre 1910 et s’adresse à Gandhi. Cette longue missive est presque comme un testament sur son refus absolu de la violence basée sur le droit du plus fort. Que faire, se demande Tolstoi, contre la « criminalité qui augmente, le chômage, le luxe grandissant, insensé, des riches et la misère des pauvres, le nombre croissant des suicides ? » Il n’y a qu’une solution, écrit-il à Gandhi, celle de la « reconnaissance de la loi d’amour et du refus de toute violence….car l’amour est la loi supérieure, unique de la vie humaine ».
Pour ce Tolstoi si proche de la mort, pour l’anarchiste, le rebelle qui pendant toute sa vie a refusé l’autorité, l’exploitation et l’asservissement des plus vulnérables, ne compte plus que l’ultime pouvoir que les humains possèdent tous, en leur âme et conscience : celui de se libérer et de libérer tous les êtres vivants. »
Pour ceux qui découvrent Personne et son journal, et pour ceux qui n’auraient pas encore fait le tour des archives, vous trouverez plus de 1000 billets-vidéos sur la chaîne youtube : http://www.youtube.com/user/lejournaldepersonne
* Personne s’autoproduisant, elle ne peut compter que sur notre soutien, le soutien des internautes, alors si vous en avez l’élan, pour soutenir Personne et le film “Le procès d’un procès” vous pouvez devenir coproducteur donateur (comprend lien d’accès à la page où vous pourrez voir le film) : http://www.lejournaldepersonne.com/campagne-de-soutien-film-proces-dun-proces/
Ceux qui apprécieront le(s) film(s), ont les moyens pour, souhaitent soutenir l’artiste de talents qu’est Personne, peuvent, en plus de participer à la campagne de soutien, offrir un ou plusieurs “billets suspendus” à des inconnus, sur le principe des cafés suspendus. Voir la dernière newsletter du journal : http://www.lejournaldepersonne.com/?wysija-page=1&controller=email&action=view&email_id=121
- “Je ne pensais pas un jour être végétarienne, ni même végétalienne. Et puis j’ai découvert l’enfer des élevages industriels et j’ai arrêté de faire semblant en mangeant. Ce n’est pas que je n’aimais pas le viande, le poisson, ou le fromage, au contraire, j’appréciais ces choses, mais il a fallu faire un choix et j’ai opté pour un mode de vie plus éthique, sans cadavres. Mon passage au végétalisme a été beaucoup plus facile que je ne le pensais. Il fait dire que je m’y suis préparée, sans pression, et que je me suis équipée pour mon mode de vie vegan, en remplissant notamment mes placards de substituts aux produits laitiers et aux œufs.” : http://auvertaveclili.fr/par-quoi-remplacer/
Description : “Cette série documentaire explore divers aspects de notre société. Pour repenser les possibles dans notre monde, nous devons envisager dans quel type de monde nous voulons vivre. Bien que nous nous y référions en terme de civilisation, elle est tout sauf civilisée. Les visions d’unité et de fraternité mondiale ont longtemps inspiré l’humanité, pourtant les arrangements sociaux d’hier à aujourd’hui ont largement échoué à réaliser un monde pacifique et productif. Alors que nous sommes techniquement avancés, nos valeurs et comportements ne le sont pas. La possibilité d’un avenir optimiste est en contradiction totale avec les dilemmes sociaux, économiques et environnementaux actuels.
« À Nous de Choisir » comprend l’interview d’éminents scientifiques, professionnels des médias, auteurs et penseurs étudiant les difficultés que nous rencontrons.
La première partie fournit une introduction et un aperçu des conditions culturelles et environnementales qui sont intenables pour une civilisation mondiale soutenable. Elle explore les déterminants du comportement pour démystifier le mythe de la « Nature humaine », tout en démontrant la façon dont l’environnement conditionne le comportement. La science du comportement est un ingrédient éminemment important dans notre culture, faisant pourtant largement défaut.
La deuxième partie s’interroge sur les valeurs, les comportements et les conséquences qu’entraînent nos structures sociales, et montre en quoi notre système monétaire mondial est obsolète et arrive de moins en moins à subvenir aux besoins de la majorité de la population. Un examen critique des fonctionnements bancaires, des médias, et du système judiciaire et pénal révèle ce que sont vraiment ces institutions : des outils de contrôle social, gérées par l’élite politique et économique établie. Si nous continuons sur le modèle actuel, les cycles familiers du crime, des booms économiques suivis de faillites, de la guerre et de destruction environnementale accrue sont inévitables.
La troisième partie (à paraître plus tard cette année) expliquera les méthodes et le potentiel de la science. Il y sera proposé des solutions qui pourront être appliquées dès maintenant pour éliminer le recours aux sources d’énergie non renouvelables. Cette partie dépeindra la vision du Venus Project: construire un monde entièrement nouveau en partant de zéro: une “refonte de la culture”, où tous bénéficient d’un haut niveau de vie, sans servitude ni dette, tout en protégeant l’environnement. Nous sommes à l’origine de la plupart de nos problèmes, mais il est encore temps pour nous de changer les choses avant le point de non-retour. Il n’est pas trop tard pour envisager une perspective optimiste des possibilités fantastiques qui s’offrent à nous.”
Bonne fin d’été, début d’automne, Bien à vous, Pascal
L’histoire du monde se fait ; Des points de vue tentent d’y tisser, De trouver des échos porteurs ; Valsent les éclats et les affréteurs, Les dés et les barques sont lancés ; Que restera-t-il de desseins à peine ancrés ?
L’astre du monde suit son cours ; La presse prisme pour des gratte-ciel, Chaque thèse peut se conforter autour, Contre ou pour l’événement et le sériel, Mais au final, les vagues aux rivages Et l’écume marque pour les âges.
De la Syrie en Ukraine, De la Palestine en Érythrée, Les peuples face aux intérêts, Des valeurs à la dérive américaine, D’autres à des ogres ou sur la voie des cimes, Et l’histoire se poursuit, y voguent les régimes.
Je me demande si un jour les cheminant pourront être sans craindre les bombes, la faucille de semblables au détour ; si la nuit les étoiles pourront paraître sans que la vie, de soif ou de faim, tombe sur les montagnes des spéculateurs. Pensez-vous la solution dans les barbelés qui joueraient la racine ? Tant que la main mise sur des cartes et nous aux divisions, chacun à ses accords, son échine, et face aux vagues, que sont les pancartes ? La tête sous l’eau peut savourer, mais pas en restant éternellement en apnée dans les marées de l’histoire. Alors peut-être est-ce dérisoire, un vain espoir sans élévatoire, mais nos terres ne sont des vases clos où après avoir envoyé des pétales de feu au loin de l’horizon, après avoir laissé faire, mi-clos, l’on peut se laver les mains et les yeux en empêchant les papillons. Et l’action ne devrait-elle sonder le fond, regarder l’aval après l’amont ? Je me demande si un jour, et la couleur que prendront les carrefours.
Pendant que des marchandises affluent, invitées par la grande porte, Des marées emportent des rêves et des corps dans la petite rue, la faucheuse en escorte face à des cœurs noués sur la grève.
Pendant qu’une main participe à la guerre, l’autre pose des briques sur un horizon, Le capital isthme de quelques-uns spécule même des vers, Aux survivants reste la quête d’une saison après l’écume du temps marin.
les jugements dressés qui peuvent se mouvoir avec le point de vue ; les pelures des connaissances des rouages accrochés à la surface ; les reflets et les poussières, les cendres de ce qui était cru ; les vagues et les roches éternelles jusqu’à ce qu’elles se cassent, sans que ne cesse pour autant la relève, ni la danse avec la terre ; une nuit, un jour, les falaises de l’aube et du crépuscule, et même une mer.
Et puis un jour la mort, puis la vie, les pages se tournent, se lient, un horizon se dessine d’un trait, souffle un nouveau vent frais, les lettres s’agencent à la lueur, les écrins s’ouvrent, fleurent, Une essence cristalline apparaît, Une fleur de ciel pousse vers l’étoilé.
Et puis l’œuvre du temps recommence, peut-être, forge le regard d’un sens, scelle le sort de quêtes.
Les marchés mettent en jeu des vies, Les enjeux font marcher des parvis, La balle aux pieds d’un système Qui fixe ses règles, multiplie les trirèmes, Porte les germes pour se perpétuer Jusqu’à ce qu’il en soit « décidé » Face aux flots et aux fournaises, L’incarnation d’une genèse.
Avez-vous fait l’univers, ce monde, la terre, comme une école pour les âmes, mais sans classe bien définie à notre regard ?
J’imagine bien qu’aucune action n’est en soi décisive face aux pieds de l’éternité, pour l’Histoire des Histoires, qu’il y a un tout et des gouttes dans ce tout qui suivent leur cycle, mais quand même ! Et je veux pas dire, mais… oui, bon. N’empêche ! J’espère que les guerres des hommes ne vont pas reprendre de plus belle. Ne suffirait-il pas d’un « rien » de votre point de vue mais d’une montagne de celui d’une fourmi que je suis ?! C’est bien pour cela ?
Les traits, les sillons Les rochers ont un enseignement Pour qui pose son regard, Éprouve les saisons, Qu’il soit en état sage ou garnement, Qu’il déroule le fil ou pose vers le phare. L’horizon peut ainsi devenir, Un éclat de conscience survenir, Mais en tout cas, l’instant se fait, Roule, ancre ses effets.
Chaque jour son lot, ses inattendus volants ou tourbillonnants, ses murs et son pote en ciel de solutions, ses pages à tourner, étudier, sentir, ses montées et ses descentes, ses impasses et ses voies. J’espère que l’année à venir aura ses belles leçons.
L’ombre de la mort plane sur la terre ; Dans la bande de Gaza, la vie suit son cours A côté des tombes et des souvenirs ; Entre murs et bombes, des humains se terrent, Sous les éclats, la mère veille nuit et jour ; A l’air libre, les fleurs cherchent leur devenir.
Les cycles passent, d’un âge à un autre Les ressources et les places en enjeu Comme un radeau sur une rivière dans un désert, Reste des bribes de poussière des apôtres Qui se perpétuent, se transmet en flambeau des cieux, Une Foi dans l’esprit, la grâce avec cours de la terre ; La force enracinée d’une Personne Ne s’en laisse pas compter, n’abandonne Face aux pressions, assauts destructeurs quand ils pleuvent, Entre eux et ceux qui font affaires, leurs épreuves.
A petit, les colons ont grignoté, Poussé hors, être à couvert, à découvert Des tunnels en nerf, à lutter à sa manière, Des humains au sort d’un tout agioté, Convoité, déchaîné, par instant apaisé. La mer, gardienne de l’essence des ciels, Écume ses espoirs au-delà des linceuls Pour des familles déchirées, destins croisés, Un souffle porteur d’élan du providentiel.
Sur la bande de Gaza, au bout des écueils, La lumière de la vie vibre sous les cendres, Un autre jour pour construire, pour entendre, Forger la voie qu’atome en feu ne peut éteindre, Un horizon que personne ne peut enceindre ; D’une âme à une autre, pour la Palestine Se tisse et lève, une fresque se dessine.
Mon pavis sur Il était une Foi… Gaza : un film qui nous fait traverser d’une rive à l’autre avec talents, avec une poésie qui touche, remue, raconte les profondeurs de l’âme humaine, de la vie et ses « passagers », nous laisse entrevoir les déchirures, les drames à Gaza, en Palestine, ce qui peut mettre à terre ici et ailleurs quand la guerre frappe à la porte, mais particulièrement « ici » où les colons se donnent un droit d’embargo etc. ; et ce qui peut fleurer - à - la transcendance, la force puisée dans la foi en des jours où il n’y aura plus d’usurpateurs mais des frères et des sœurs d’humanités pouvant fleurir sur leur terre, et en attendant, foi en la « vie », en ce qui lui donne corps. Et une belle troupe.
Qui n’a pas eu de préjugés sur un certain “type d’alimentation” ? Du fait de l’image véhiculée à travers certains médias qui s’emparent du premier fait divers venu, sans aucun discernement, sans aucune recherche approfondie, du fait des études sponsorisées par des lobbies, et/ou du fait du poids culturel… Même si on a un esprit critique affûté, on peut avoir tendance à accepter pour acquis certaines habitudes, dont les alimentaires, étant donné qu’on ne né pas avec une encyclopédie dans la tête, et que même le contenu de “l’encyclopédie” se modifie au fil du temps, au gré des découvertes, des remises en question…
Au point que, même si on sait que les connaissances évoluent, ces habitudes peuvent se transformer en « Si c’est comme ça, c’est que c’est le mieux, c’est qu’il ne peut en être autrement ! ». Je caricature, je force le trait, j’exagère, mais dès qu’on aborde le sujet d’une habitude fortement ancrée, comme ce que l’on mange, nous pouvons avoir une forte tendance à lever notre bouclier, et à y aller avec des phrases toutes faites, comme si c’était notre personne que l’on remettait en cause et qu’il fallait trouver le premier argument, la première justification venue qui permettrait de se dédouaner de ne pas “en être” (**).
Cependant, certains ont pu faire des “recherches” sur le sujet, et leurs idées reçues peuvent provenir de celles véhiculées par une certaine littérature scientifique, en apparence sérieuse, qui ne donne la parole qu’à un “camp”, et ne creuse pas le sujet comme il le faudrait, pas vraiment avec l’objectivité nécessaire. Heureusement, “aujourd’hui”, il y a de la documentation “gratuite” et facile d’accès, qui permet de faire valoir son point de vue, au moins à posteriori, d’approfondir le sujet, la “discussion”, de bien s’informer, en multipliant les sources et faisant jouer son esprit critique.
** Ceci étant dit, si vous vous êtes reconnu dans la description de l’omnivore prêt à sortir tout un tas d’excuses, qui défend bec et ongles son régime alimentaire sans avoir pris le temps de bien s’informer, de bien y réfléchir, ne le prenez pas mal, pas pour vous en particulier. J’aborde le sujet sous cet angle, car, pour la petite histoire, j’avais moi-même une idée arrêtée sur le végétarisme : je pensais que c’était assez compliqué et j’ai mis beaucoup de temps à me lancer, bien que convaincu par l’intérêt éthique (depuis près de deux décennies). Mais en fait, une fois que j’ai pris mon courage à deux mains pour faire tomber le mur de mes habitudes, une fois que j’ai pris le temps de m’informer plus en profondeur, ça m’est apparu beaucoup plus simple.
* Bien entendu, il faut faire attention à son alimentation, manger équilibré, varier, mais c’est aussi valable pour les omnivores. Pour vous aider, il y a une riche documentation végétarienne qui concerne les informations pratiques, la nutrition… Vous trouverez des fiches complètes sur : http://www.vegetarisme.fr/vegetarien.php ou : http://www.vegetarisme.info/spip.php?rubrique29
A savoir, quelques bases :
- 1/3 de légumineuses, 2/3 de céréales ;
- Prendre une source de vitamine C au cours du repas (jus de citron, légumes… cf http://www.vegetarisme.info/spip.php?article71 ) permet de mieux assimiler le fer non héminique et autre ;
- Quand on fait une coupure nette dans le changement de régime, et même après, il faut veiller à l’apport en zinc (mais pas trop compliqué) : http://www.vegetarisme.info/spip.php?article86 ;
- les graines germées, levure de bière, algues gastronomes sont vos amies ;
- les huiles vierges bio extraites à froid, sont vos amies (dont celle de Colza)…
Ce n’est que quand on veut passer le pas de végétarien à végétalien (sans produits laitiers ***, sans oeuf…), que peut apparaître le seul vrai “problème” : la vitamine B12. Mais c’est un faux problème, dans la mesure où il y a une solution facile d’accès, que ce n’est pas un frein pour passer le pas, pour qui est convaincu de “l’intérêt” :
Pour ceux qui en déduiraient que cela signifie que nous ne sommes pas faits pour avoir un régime alimentaire dit végétalien, végétarien pur / strict, ce serait un raccourci ne prenant pas en compte que nombreux mangeurs de viande-poisson-oeuf-produits-laitiers-animaux ont des carences, que la supplémentation a été mise au point pour eux, que ce problème de vitamine B12 pour les végétaliens vient plus de notre époque “clean” (ou plutôt polluée pour une apparente propreté et une apparente productivité). Explication détaillée à lire : http://www.vegetarismus.ch/heft/f2005-2/B12.htm
* Pour ceux qui se posent des questions sur le végétalisme, qui hésitent à faire un autre pas, à aller plus loin dans leur démarche végétarienne, à lire : Vivre végétalien (petit “guide”, qui compile motivations, conseils, quelques recettes…) : http://interdits.net/interdits/pdf/vegan.pdf
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