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Présentation : « Il était une fois une femme rêvant de liberté, qui décida de tout quitter pour vivre simplement sous une tente fabriquée de ses mains.
Sylvie Barbe est la première femme en France à avoir vécu dans une yourtes. Défricheuse d’un mode de vie sobre et autonome elle nous parle dans ce film de son bonheur d’avoir réussi à incarner son rêve d’intégrité et de cohérence. Elle témoigne de son expérience et nous dévoile comment la yourte peut sauver du désespoir et restaurer la dignité.
On découvre comment on peut vivre dans une grande simplicité, en ne consommant que des énergies autonomes et renouvelables, dans un grand respect de la nature, sans coopération avec le consumérisme et en intégrant au quotidien la poésie dans sa vie. Elle nous parle de sa solitude, de son exigence, de sa rencontre avec elle même, de son droit à la colère. C’est ainsi qu’un chemin vers l’éveil s’est tracé. »
* Human : VOL.1 sur les thèmes de l’amour, des femmes, du travail et de la pauvreté : https://youtu.be/FLqft-ICVQo
Présentation de la trilogie : « Qu’est-ce qui nous rend humains ? Est-ce le fait d’aimer, est-ce le fait de lutter ? Le fait de rire ? De pleurer ? Notre curiosité ? Notre quête de découvertes ?
Poussé par ces questions, le réalisateur et photographe Yann Arthus-Bertrand a passé trois années à collecter les histoires de 2 000 femmes et hommes dans 60 pays. Avec son équipe passionnée de traducteurs, journalistes et cameramen, Yann a capturé en profondeur les émotions et les sujets qui nous unissent tous : les luttes contre la pauvreté, la guerre, l’homophobie et le futur de notre planète, mêlées à des moments d’amour et de bonheur. »
Présentation : « Matthieu Ricard aborde d’une façon remarquable les notions d’altruisme, d’amour et de compassion. Ses nombreux travaux avec le monde scientifique (Mindfulness) lui permettent de nous faire part d’une multitude d’anecdotes d’une grande puissance ! »
Introduction : « Il ne faut pas désespérer des êtres humains quand les neurosciences démontrent que l’empathie – qui ne se réduit pas à la capacité à se mettre à la place d’autrui et l’altruisme - cette propension désintéressée à se consacrer aux autres – ont des bases biologiques universelles. Dans les laboratoires américains et allemands où les réalisateurs ont enquêté, les chercheurs mettent expérimentalement en évidence que des enfants très jeunes, des grands singes mais aussi des souris ont spontanément des comportements d’entraide non associés à une récompense. On voit notamment des bébés à partir de l’âge de trois mois à qui on présente une petit spectacle de marionnettes mettant en scène un ours en peluche aidant un congénère en difficulté et un autre disons plus méchant, choisir de garder l’ours coopérant. Cette compréhension morale élémentaire, s’il s’agit de cela, mérite de réviser ce qu’on croit savoir sur le psychisme des tout-petits et même d’enfants de 18 mois : ceux-ci arrêtent de jouer pour aider un adulte à ramasser le crayon qu’il a laissé tomber sans en avoir la moindre gratification. Qui plus est, en poursuivant l’expérience avec deux groupes distincts, ceux qui ont reçu une gratification pour cet acte altruiste finissent par aider moins que les autres ! Les psychanalystes sont toujours contents quand les neurochercheurs apportent la preuve scientifique de ce qu’ils ont constaté à savoir qu’un enfant, aussi jeune soit-il est capable, avec les moyens dont il dispose, de prendre en charge celui dont il perçoit la détresse sans rien attendre en retour. Une autre expérience fait réfléchir sur ce qui serait un trait fondamental de la nature humaine : elle montre que très précocement, les enfants divisent le monde entre ceux qui sont « comme eux » et qu’ils préfèrent et ceux qui sont différents d’eux et qu’ils excluent. »
Extrait du début : « Le système nerveux. Cette chose commune à tous les animaux, leur permettant - avant tout - de survivre. Et qui, si on suit la théorie scientifique de L’éloge de la fuite, nous guide inconsciemment dans chacune de nos actions. Rend possible toutes les stratégies de domination, matrice essentielle de compréhension de notre organisation économique et sociale, du système politique et de la société de consommation.
Le système nerveux, base d’une domination omniprésente
Chirurgien, biologiste, spécialiste du système nerveux, inventeur de drogues psychotropes, philosophe « vulgarisateur » des neurosciences… Multidisciplinaire, Henri Laborit a su montrer une rare capacité d’extrapolation de sa formation scientifique afin de faire émerger une matrice de compréhension des comportements animaux et humains plus performante. Il fut le premier à exprimer l’idée que le système nerveux peut être responsable de tous nos actes, mais aussi, partant, du système de domination sociale. Et à construire toute une philosophie autour, faisant ainsi des liens uniques entre biologie animale et organisation sociale. »
* Culture en Déclin - Episode 3 - TCV : Trouble de la Consommation-Vanité (vostfr, sous-titres peuvent être à activer) :
Introduction : « L’anthropologue Claude Lévi-Strauss estimait que « l’homme a resserré trop près de lui-même les frontières de son humanité ». À ne plus appréhender le monde qui nous entoure autrement que par ce que nous pouvons y prendre, nous n’avons de cesse de surexploiter le milieu naturel et de menacer sa capacité de régénération. Aurélien Barrau, astrophysicien, chercheur et auteur de l’essai Des univers multiples, est de ceux qui regardent avec la même passion le très lointain — des trous noirs à la gravité quantique — comme ce que, juste à nos côtés, nous refusons trop souvent de voir : le sort infligé aux animaux afin qu’ils puissent régaler nos assiettes. C’est sur ce dernier sujet, très précisément, que nous avons tenu à l’interroger. »
Personne s’autoproduisant, elle ne peut compter que sur notre soutien, le soutien des internautes. Alors si vous en avez l’élan, pour la soutenir, vous pouvez devenir coproducteur donateur (comprend lien d’accès à la page où vous pourrez voir le film) du film “Le procès d’un procès” : http://www.lejournaldepersonne.com/campagne-de-soutien-film-proces-dun-proces/
Pour ceux qui découvrent Personne et son journal dans le cadre de la campagne, et pour ceux qui n’auraient pas encore fait le tour des archives, vous trouverez plus de 1000 billets-vidéos sur la chaîne youtube : http://www.youtube.com/user/lejournaldepersonne
* Conférence : Une définition de la paix(vostfr, sous-titres à activer s’ils ne s’affichent pas, bas droite de la barre de lecture, à gauche du ptit engrenage)
* Documentaire : La rébellion du professeur de Harvard
* Film HUMAN de Yann Arthus-Bertrand Volume 1 (aborde les thèmes de l’amour, des femmes, du travail et de la pauvreté) : https://youtu.be/FLqft-ICVQo
Volume 3 (aborde les thèmes du bonheur, de l’éducation, du handicap, de l’immigration, de la corruption et du sens de la vie) : https://www.youtube.com/watch?v=IPW_jYHZ45Y
Présentation : « Qu’est-ce qui nous rend humains ? Est-ce le fait d’aimer, est-ce le fait de lutter ? Le fait de rire ? De pleurer ? Notre curiosité ? Notre quête de découvertes ? Poussé par ces questions, le réalisateur et photographe Yann Arthus-Bertrand a passé trois années à collecter les histoires de 2 000 femmes et hommes dans 60 pays. Avec son équipe passionnée de traducteurs, journalistes et cameramen, Yann a capturé en profondeur les émotions et les sujets qui nous unissent tous : les luttes contre la pauvreté, la guerre, l’homophobie et le futur de notre planète, mêlées à des moments d’amour et de bonheur. »
Extraits : « Je pense maintenant qu’outre les problèmes environnementaux, il y a une cause plus importante à défendre, celle du respect de la vie. En outre, je crois qu’un régime végétarien est beaucoup plus sain. C’est pour cette raison que j’ai parfois pris la parole pour encourager une réduction de la consommation de viande et dire au public : « vous serez en meilleure santé, et la planète aussi ». »
« Peut-on espérer que l’impact climatique des habitudes alimentaires sera mieux reconnu dans les cercles scientifiques et politiques, y compris lors de la COP21 ?
Je suis confiant sur le fait que l’impact climatique des habitudes alimentaires recevra beaucoup plus d’attention aux niveaux scientifiques et politiques, mais peut-être pas nécessairement au cours des négociations de la COP21. Je suis sûr qu’on y verra des évènements organisés par des associations sur ce sujet, mais il est peu probable que l’on se réfère à cette question[VM3] dans les négociations officielles. Comme je l’ai mentionné, étant donné que l’accord prévu à Paris sera essentiellement basé sur des engagements nationaux, les mesures concrètes d’atténuation, y compris les changements d’habitudes alimentaires, feront partie des actions spécifiques qui seront prises par les États mais ne feront pas l’objet des négociations. Ce qui me semble vraiment important, c’est que des acteurs tels que l’Association végétarienne de France contribuent à sensibiliser [VM4] le public sur les preuves apportées par la science quant à l’impact de la consommation de viande, afin d’éclairer les choix des consommateurs. »
Présentation : « L’astrophysicien Aurélien Barrau s’exprime sur les souffrances sans nom que nous infligeons aux animaux, humains ou non ; à lire d’urgence dans la revue Ballast : « le combat « animalier » est frère des combats d’émancipation et de libération. Il n’est pas opposé aux luttes libératrices pour les hommes : il leur est au contraire structurellement lié. C’est une même mouvance. C’est une même sensibilité à la douleur muette des opprimés. Je crois qu’il n’est pas possible aujourd’hui d’être libertaire, anarchiste ou progressiste (un mot que je n’emploierais qu’avec beaucoup de réserves), ou même simplement socialiste, en ignorant cette question centrale. Quiconque revendique penser le monde au-delà du seul prisme de son plaisir propre ne peut ignorer l’industrie de la mort terrifiante que nous avons mise en place. Nous tuons chaque mois plus d’animaux que la totalité des hommes ayant existé sur Terre depuis toujours… » »
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