* Compilation de liens avec en photo couverture des livres sur divers sujets (économique, politique, covid 19, santé, recettes véganes, antispécisme, paranormal, écologie, et cetera) : https://diaspora-fr.org/posts/7537499
175 ans de prison pour Assange ? - Le monde vu d’en bas - n°28 (à propos de Julian Assange, et aussi coup d’état militaire au Soudan et du prisonnier politique Georges Ibrahim Abdallah) : https://www.youtube.com/watch?v=fBnc3RUGB2I
* InterReflections : Il n’y a pas encore de sous-titres français disponibles, mais si vous pouvez comprendre un peu une de celles disponibles (cliquer sur le “CC” à droite du réglage du volume), le film InterReflections évoque divers soucis de civilisation, synthétise diverses thèses et évoque des idées de solutions : https://vimeo.com/548639912
* « Donella Meadows : D’accord. Aujourd’hui, j’aimerais parler de la méthode de la dynamique des systèmes, en particulier des aspects philosophiques de cette méthode, pas des aspects mathématiques, pour vous dire ce que je considère comme l’essence de la dynamique des systèmes en tant que philosophie pour apprendre les systèmes complexes. C’est un peu comme décrire les lentilles de vos yeux que vous ne voyez jamais, vous ne voyez qu’à travers. Les philosophies de modélisation sont tout à fait ainsi. J’utilise les hypothèses sous-jacentes de ma méthode sans trop y penser tout comme un physicien ne pense pas trop aux bases mêmes de la physique ou le mathématicien ne remet pas vraiment en question deux plus deux égalent quatre. »
« Le système fonctionne littéralement de la manière opposée à celle d’une véritable économie lorsqu’il s’agit de durabilité ou simplement d’être économique au sens littéral. Alors que d’autre part, le système génère constamment des inégalités socio-économiques déstabilisantes ou des différentiels de classe accrus. Si nous n’avions pas de filets de sécurité sociale de base et de défis pour les riches par le biais de la fiscalité, en essayant de restreindre, par exemple, les consolidations par le biais de monopoles et de cartels, et cetera, même si tout cela est en réalité assez minime, comme j’y reviendrai , la population mondiale connaîtrait une disparité à l’effet de 1% de la population possédant 99% de l’ensemble des richesses et des revenus tandis que les 99% ne partagent que 1% de la richesse et des revenus.»
* « Donella Meadows : On m’a demandé de parler des systèmes et de la durabilité pour dire comment pouvons-nous vivre de bonnes vies pour tout le monde sur cette planète d’une manière qui préserve le fonctionnement de la planète et de toutes les autres créatures. Dans la mesure où j’ai un rôle, je suppose que c’est d’essayer de le voir dans son ensemble, d’essayer de voir les systèmes dans leur ensemble. C’est en grande partie parce que j’ai rencontré au début de ma vie des gens qui avaient des outils système et qui m’ont appris à les utiliser pour imaginer, penser, simuler pour comprendre les systèmes dans leur ensemble.
Et c’est principalement ce dont je vais parler aujourd’hui, mais je suppose que je devrais commencer par parler de durabilité. Je suis sûr que vous avez entendu un million de définitions. Je vais utiliser les définitions très strictes que Herman Daly vous a déjà données, je suppose, les trois nécessités biophysiques de la durabilité très clairement : (1) Chaque ressource renouvelable doit être utilisée à ou en dessous du taux auquel elle peut être régénérée ou peuvent se régénérer, c’est-à-dire les sols, les eaux, les forêts - sont une base de ressources renouvelables. »
Jérôme Segal : « Qui sont les animaux ? » : A propos du souci économique, écologique, politique et éthique, de la cause animale, la cause palestinienne, un article où est abordé la critique de la part de certains et l’intérêt du veganisme, et cetera : https://www.revue-ballast.fr/jerome-segal-qui-sont-les-animaux/
* Pour ceux qui ne le sont pas encore (véganes) et qui voudraient au moins tenter l’expérience, je ne me suis pas inscrit à leur programme, je m’étais informé de mon côté et je suis devenu végétalien vegan bien avant qu’ils le mettent en place, mais semble être très utile pour les débutants, se lancer : Veggie Challenge de l’association L214 (pour aider ceux que veulent s’y essayer, avec divers conseils) : https://vegan-pratique.fr/veggie-challenge/
En bref : « Les protéines sont présentes dans la totalité des végétaux (hors huiles et sucres) et tout particulièrement dans les légumineuses, les oléagineux, le seitan et les céréales, autant d’aliments avec lesquels il est facile de composer une infinité de plats savoureux et pleins d’énergie.
Il est nécessaire de varier son alimentation sur plusieurs jours. De cette manière, une alimentation végétale équilibrée couvre sans difficulté tous nos besoins en protéines, et ce même pour les sportifs. »
Introduction : “Les vaccins COVID qui ont été mis au point n’ont pas été conçus pour endiguer la pandémie à court terme. Ils ont été développés pour consolider les monopoles économiques et en créer de nouveaux.”
Introduction : “Les vaccins COVID qui ont été mis au point n’ont pas été conçus pour endiguer la pandémie à court terme. Ils ont été développés pour consolider les monopoles économiques et en créer de nouveaux.”
* Pour ceux qui ne le sont pas encore et qui voudraient au moins tenter l’expérience, je ne me suis pas inscrit à leur programme, je m’étais informé de mon côté et je suis devenu végétalien vegan bien avant qu’ils le mettent en place, mais semble être très utile pour les débutants, se lancer : Veggie Challenge de l’association L214 (pour aider ceux que veulent s’y essayer, avec divers conseils) : https://vegan-pratique.fr/veggie-challenge/
* InterReflections : Il n’y a pas encore de sous-titres français disponibles, mais si vous pouvez comprendre un peu une de celles disponibles (cliquer sur le “CC” à droite du réglage du volume), le film InterReflections évoque divers soucis de civilisation, synthétise diverses thèses et évoque des idées de solutions : https://vimeo.com/548639912
* “Donella Meadows : On m’a demandé de parler des systèmes et de la durabilité pour dire comment pouvons-nous vivre de bonnes vies pour tout le monde sur cette planète d’une manière qui préserve le fonctionnement de la planète et de toutes les autres créatures. Dans la mesure où j’ai un rôle, je suppose que c’est d’essayer de le voir dans son ensemble, d’essayer de voir les systèmes dans leur ensemble. C’est en grande partie parce que j’ai rencontré au début de ma vie des gens qui avaient des outils système et qui m’ont appris à les utiliser pour imaginer, penser, simuler pour comprendre les systèmes dans leur ensemble.
Et c’est principalement ce dont je vais parler aujourd’hui, mais je suppose que je devrais commencer par parler de durabilité. Je suis sûr que vous avez entendu un million de définitions. Je vais utiliser les définitions très strictes que Herman Daly vous a déjà données, je suppose, les trois nécessités biophysiques de la durabilité très clairement : (1) Chaque ressource renouvelable doit être utilisée à ou en dessous du taux auquel elle peut être régénérée ou peuvent se régénérer, c’est-à-dire les sols, les eaux, les forêts - sont une base de ressources renouvelables.”
* Si vous la découvrez, vous pourrez zyeuter un certain nombre de billets sur la rubrique ouverte à tous - De l’info-scénario pour traiter une question d’actualité… Recueil de journaux pour Tous : https://www.lejournaldepersonne.com/category/recueil/
Vous trouverez les billets vidéos sur sa chaîne YouTube et le site, tel que son plus récent autour du projet de film sur L’Orpheline de la PALESTINE :
Et étant donné la difficulté à atteindre l’objectif, la campagne a été prolongée jusqu’à fin juin, donc si vous avez les moyens, que vous voulez soutenir la cause palestinienne, projet de film de l’Artiste du journal de Personne, vous pouvez encore. Pour ce faire, rendez-vous sur la page : Campagne du film long métrage L’orpheline de la Palestine : https://www.lejournaldepersonne.com/campagne-du-film-lorpheline-de-la-palestine/
* Personne s’autoproduisant, elle ne peut compter que sur notre soutien, le soutien des internautes, alors si vous en avez l’élan, pour soutenir Personne et le film “Le procès d’un procès” vous pouvez devenir coproducteur donateur (comprend lien d’accès à la page où vous pourrez voir le film) : http://www.lejournaldepersonne.com/campagne-de-soutien-film-proces-dun-proces/
Pour ceux qui découvrent Personne et son journal, et pour ceux qui n’auraient pas encore fait le tour des archives, vous trouverez plus de 1000 billets-vidéos sur la chaîne youtube : http://www.youtube.com/user/lejournaldepersonne
Vivement qu’un jour la France,
Qu’un jour dans le monde,
L’impérialisme soit rendu souvenance,
Ainsi que dans le ciel et sur terre, les frondes
Vivement qu’un jour les marchands d’armes,
Qu’un jour les jongleurs avec vie,
Les créateurs de vacarmes
Écoutent les souffles qui résonnent jusqu’aux parvis
Vivement qu’un jour la France,
Qu’un jour des citoyens
Arrivent à faire convergence,
A changer le mauvais sort fait aux « indiens »
Vivement qu’un jour les spéculateurs,
Qu’un jour les marchés des ingérences
Soient rendus cendre par la bienveillance,
De l’enchantement dans les cœurs
Vivement qu’un jour, dans la vie des chemins,
Qu’un jour au-delà des tempêtes et des errances,
Se partage l’eau fraîche et se multiplient les pains
Entre voyageurs et sédentaires, le ciel étoilé pour puissance.
Des fleurs des champs de la France,
En effervescence,
Choisissent une rose
Et font des tranchées
Pour que la leur soit hissée,
Trône un temps en virtuose
Dans les allées du jardin,
Des jardiniers arrosent,
Diverses places en lien,
Ils choisissent aussi de la rose,
Les épines et les pétales
Utilisés pour leur Graal
Un jardin, des outils et des camps,
Certaines fleurs hésitent
Face au jeu des urnes en rite,
Tournées vers le ciel ou leur champ,
La rosée de l’aube en création,
Mais la voie d’Élysée à son horizon.
A l’instant
Où se voit le visage d’un(e) heureux(se),
Une carte tirée et jouée sous le signe de la bonne étoile,
Île paradisiaque trouvée et savourée au hasard des cieux
Et qu’importe s’il n’est que fugace,
si l’heur n’est pas à la bonne heure,
si les remous de la trame font boire de la tasse,
c’est un tout qui fait s’épanouir les fleurs
Le fil se déroule « pas » après « pas »,
avec les instants manqués et de grâce,
de « da capo » à la page suivante de la voie,
des sorts se font avec ou sans audace
Puis, pour certains, un instant,
La bonne heure au visage de bonheur,
Se partage les mets et de l’humeur joviale,
Et du printemps à l’hiver, du fond des yeux.
Le long d’une allée de tombes, je marchais,
Imaginant des morts se manifester,
Mes grands-parents maternels me saluer,
Me donner des nouvelles des paternels,
Et moi parler de l’ère, de la terre au ciel,
De mes bourdes, des statues et vases fêlés,
D’instants passés, d’idées, d’horizons, de rêves,
De forces, faiblesses, contingence et sève.
Le long d’une allée de tombes, je regardais,
J’écoutais, respirais la vie hors de portée
Des en cercueils qui ne peuvent plus se lever,
En dehors des fugaces souvenirs persistants,
Je réfléchissais à tout ce qui peut être essayé,
Pansé, réalisé, forgé d’instant en instant,
A la beauté de sillons tracés et à tracer,
Au clin d’œil d’une étoile filante aux incarnés.
Le long d’une allée de tombes, je repartais,
Savourant, empli de l’instant, des creux aux sommets,
Je regardais un vol d’oiseaux comme en fête,
Non loin d’un clocher sonnant l’heure écoulée ;
Par-delà les aléas, les échecs, étiquettes,
Je pensais aux chemins des conducteurs et passagers,
Au sort des vies croisées, puis les voies passées,
Aux évolutions, actions des existences aspirées.
Le premier jour de Samain, Pygmalion, druide mage de son village, en rentrant de sa journée à faire quelques exorcismes contre des possessions - courantes en cette période de l’année propice aux ouvertures vers “l’Autre Monde” - se posa devant son bureau, face au parchemin prêt à être ancré par la noosphère de sa planète bleue. Celui-ci lui délivrait chaque jour, quand il l’ouvrait, via paysages lettrés apparaissant sur le papier, des histoires et des thèses différentes, au « hasard du grand tout ». Ce soir-là il découvrit une histoire qui lui fit imaginer la femme de ses rêves. Il ne savait trop si elle était parfaitement décrite ou si c’était l’œuvre de son imagination face à la lecture, ou un peu des deux, mais il se demanda si elle avait été ou était de ce monde, ou si elle avait été imaginée par un autre esprit qui l’avait ainsi fait naître dans la noosphère. Toujours est-il qu’il contempla un long moment le parchemin en imaginant la belle en sortir et prendre corps devant lui.
Quand il sortit de sa rêverie, en rangeant l’enroulé, il lorgna du côté de l’armoire où étaient posé son grimoire et de ses potions. Avec ses pouvoirs de mage-sculpteur, il aurait pu faire une ersatz se rapprochant de son aspiration, mais il ne pouvait lui donner ainsi toute une âme. Il se résigna à aller rejoindre les songes des yeux fermés.
Cette nuit, il eut l’impression d’avoir rêvé d’elle et peu après son réveil, ou bien rêvait-il encore ?, quand il alla dans son bureau, il vit la femme en chair et en os.
« Est-ce que… Est-ce un rêve ? Êtes vous un esprit de l’autre monde venu me hanter en cette occasion de Samain ? Si l’on peut parler ainsi vu tout le charme qui émane de vous ! »
« Je… je ne sais pas ! Que fais-je ici ? Est-ce que moi-même je rêve ? Êtes-vous le fruit d’une drôlerie de mon imagination ? »
« Euh… Vous me mettez le doute… Mais pourquoi serais-je le fruit d’une drôlerie ? Je suis pas un drôle de djinn quand même ! J’ai l’air si peu sérieux ? »
« Oh, eh bien, disons que vous sortez de l’ordinaire ! Et cette pièce est… étrange ! »
« Si c’est mon accoutrement, c’est que vous n’êtes pas de la même culture que la mienne ? De laquelle venez-vous ?! »
« Je… Je ne sais pas trop… En fait… »
« Vous savez au moins qui vous êtes ?! »
« Cela oui ! Si l’on peut considérer vraiment le savoir. Je m’appelle Galatée ! Et vous ? »
Pygmalion se pinça puis se regarda dans le miroir de la pièce, accroché au mur dos au bureau.
« Je n’ai pas cette impression ! Mais d’habitude les esprits en visite lors de Samain en savent plus sur eux. Est-ce les pouvoirs de mon inconscient en cette période où la magie est amplifiée, qui vous ont fait sortir d’un lieu tel que les limbes, voir prendre corps depuis la noosphère ? J’en ai entendu des histoires extraordinaires, mais rien de tel. Ou ai-je fait un sort en état de somnambulisme ? »
« Ne me demandez pas ! Je sais au moins que… Euh… »
« Voulez-vous bien me donner votre main ? Ou plutôt me la tendre ? Que l’on voit ce qu’il se passe ! »
Lorsque la main de Galatée effleura la sienne, Pygmalion ouvrit les yeux, assis face à son bureau. Avait-il fait un simple rêve ? Comment était-il arrivé là ? Il était certain d’être allé dormir sur sa paille. A travers la fenêtre, les lueurs de l’aube s’infiltraient comme lors de la présence de son rêve. Il alla rendre des menus service au villageois lors de cette seconde journée puis, pendant la nuit, il eut de nouveau la visite de Galatée, avec la même sensation de réalisme surnaturel que la veille. Si il se « réveillait » à un moment ou un autre, toujours face à son bureau, qu’il ne pouvait être certain de la nature de Galatée, il avait au moins le plaisir de partager des moments avec elle, de faire un peu plus sa connaissance. Du moins, se disait-il.
Le dernier jour de Samain, après une soirée à avoir allumé les feux de joie avec le bois sec sacré et être rentré avec des braises, comme de coutume, il mit du temps avant de s’endormir. Il avait peur de voir pour la dernière fois Galatée. Ses apparitions, quelle que soit la magie autour, étaient sûrement favorisées par la période d’ouverture vers “l’Autre Monde”. Même si elle n’en venait pas à proprement dit, ou différemment des autres esprits, peu de probabilité que cela soit une coïncidence. Il pria ainsi du plus profond de son être la grande déesse de pouvoir retrouver d’une façon ou d’une autre Galatée après son réveil, ou de pouvoir continuer à la côtoyer les jours suivants, encore et encore.
Samain passé, Pygmalion fut introuvable dans le village. Non qu’il fut devenu un esprit de “l’Autre Monde” ou qu’il l’eut été dans cette histoire. Il fut exaucé d’une certaine façon. Du moins, certains possesseurs d’un parchemin comme celui de Pygmalion purent lire une mythologie laissant entendre que ce put être le cas dans une autre dimension où la grande déesse l’aurait fait s’incarner.
Au début de la nuit des temps,
Chronos, en apercevant Gaïa,
Eut une sensation qui le remua,
A en dessiner tout le tour d’un cadran.
Il vit alors l’univers se forger
Et la belle danser sur sa planète,
Parer des couleurs des saisons
Au cours du sablier à voyager.
Sans expérience, avec l’aide des comètes,
Dans un premier temps sans son diapason,
Il tenta de lui faire des clins d’œil,
Au risque de provoquer des collisions.
Elle, de ces fruits, des poussières stellaires,
Se fabriqua un satellite, comme un tapis de feuilles
Sur lequel elle pourrait partager des aspirations, de ses visions
Avant de pouvoir le rencontrer sur la terre.
Mais les grains de la source continuèrent de s’écouler
Et une nuit Chronos fut amener à d’autres galaxies,
Et Gaïa continua de vivre ses saisons
Et apprendre à connaître des habitants de la Voie lactée.
Ils ne voulaient toutefois, ne pouvaient pas s’oublier sans être en anoxie,
Ils décidèrent et mirent tout œuvre pour construire un pont
Et se retrouvèrent ainsi à volonté, le jour et la nuit, au fil du temps,
Vécurent leur éternité vers le ciel de l’absolu, de printemps en printemps.
* Culture en Déclin - Guerre contre la nature (vostfr, sous-titres à activer s’ils ne s’affichent pas, bas droite de la barre de lecture, à gauche du ptit engrenage) :
* De Mylonite Mrp : « Pour ceux qui se considèrent comme à part…
Ce titre très spécial est pour toutes celles et ceux qui se considèrent comme faisant partie du faible pourcentage d’anomalie humaine. En voie de disparition.
C’est un morceau complètement instinctif, malgré que la composition de l’instrumentale a demandé beaucoup de temps ! Le texte a pris moins d’une heure et l’enregistrement moins de 30 minutes. Vous allez peut être remarquer que ce n’est pas toujours dans les temps, mais vous allez surtout remarquer que ça ressemble à mes premiers titres (pour ceux qui connaissent), c’est à cœur ouvert. Même si le texte peut paraître léger au premier abord, prenez le temps de pousser un peu la réflexion sur certaines phases, car elles font référence à des choses très complexes… »
Personne s’autoproduisant, elle ne peut compter que sur notre soutien, le soutien des internautes, alors si vous en avez l’élan, pour soutenir Personne et le film “Le procès d’un procès” vous pouvez devenir coproducteur donateur (comprend lien d’accès à la page où vous pourrez voir le film) : http://www.lejournaldepersonne.com/campagne-de-soutien-film-proces-dun-proces/
Pour ceux qui découvrent Personne et son journal, et pour ceux qui n’auraient pas encore fait le tour des archives, vous trouverez plus de 1000 billets-vidéos sur la chaîne youtube : http://www.youtube.com/user/lejournaldepersonne
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