Vous pouvez retrouver l’intégralité de la lecture mise en vidéo – avec des illustrations et rythmée de pauses musicales - d’une histoire philo-poétique, de la fantasy à la science-fiction en passant par l’ère du temps, sur cette liste de lecture :
* Et pour rappel, comme vous l’aurez remarqué, je ne publie plus sur ce blog, si vous voulez continuer de suivre ce que je publie, rendez-vous sur « Cuisine, Art, Politique et Compagnie (végan antispéciste) » : https://www.cuisine-art-politique-et-compagnie.com
Citoyens, citoyennes, à la paix, à la paix, à la paix, ne suivez pas la haine, belligérants, laissez de côté,
Faites place nette, beau lieu, s’écumer les peines jusqu’à ce que vos têtes soient à la saveur des cieux ;
Citoyennes, citoyens, informez-vous sur les soucis qui mettent en péril les vies de causes à effets, en liens :
Tels que l’écocide, les plastiques à la mer et autres dérèglements de l’environnement, du fait d’une économie non économique, de sang, et de médias faiseurs de guerres ;
Femmes et hommes, humanité, à la paix, à la paix, à la paix, comprenez l’essence du véganisme, l’état d’esprit de l’antispécisme :
La possibilité de se nourrir sans faire directement ou indirectement mourir, en respectant toute la nature, ainsi forgée une belle culture ;
Hommes et femmes, humanité, comprenez la nécessité d’une évolution en harmonie des bases, de faire, de « bêtises », table rase,
Pour mettre fin aux guerres, à ce qui fait tomber des bombes, renforce les effets des trombes, et qu’advienne une ère de paix sur terre.
Pourquoi être vegan ? : Si vous souhaitez avoir un impact positif pour les ANIMAUX, la préservation de la PLANÈTE et votre SANTÉ, le véganisme est la solution ! : https://www.veganimpact.com/pourquoi-etre-vegan
* A propos des soucis énergétiques : LE TRAITÉ DE NON-PROLIFÉRATION DES COMBUSTIBLES FOSSILES : https://fossilfueltreaty.org/fra
* A propos des soucis pour la Biodiversité, crise climatique, écocide et idées de solutions, et cetera : https://diaspora-fr.org/posts/7656519
* « Donella Meadows : On m’a demandé de parler des systèmes et de la durabilité pour dire comment pouvons-nous vivre de bonnes vies pour tout le monde sur cette planète d’une manière qui préserve le fonctionnement de la planète et de toutes les autres créatures. Dans la mesure où j’ai un rôle, je suppose que c’est d’essayer de le voir dans son ensemble, d’essayer de voir les systèmes dans leur ensemble. C’est en grande partie parce que j’ai rencontré au début de ma vie des gens qui avaient des outils système et qui m’ont appris à les utiliser pour imaginer, penser, simuler pour comprendre les systèmes dans leur ensemble.
Et c’est principalement ce dont je vais parler aujourd’hui, mais je suppose que je devrais commencer par parler de durabilité. Je suis sûr que vous avez entendu un million de définitions. Je vais utiliser les définitions très strictes que Herman Daly vous a déjà données, je suppose, les trois nécessités biophysiques de la durabilité très clairement : (1) Chaque ressource renouvelable doit être utilisée à ou en dessous du taux auquel elle peut être régénérée ou peuvent se régénérer, c’est-à-dire les sols, les eaux, les forêts - sont une base de ressources renouvelables. »
* Pour ceux qui ne le sont pas encore (végans) et qui voudraient au moins tenter l’expérience, je ne me suis pas inscrit à leur programme, je m’étais informé de mon côté et je suis devenu végétalien vegan bien avant qu’ils le mettent en place, mais semble être très utile pour les débutants, se lancer : Veggie Challenge de l’association L214 (pour aider ceux que veulent s’y essayer, recevoir divers conseils par mail) : https://vegan-pratique.fr/veggie-challenge/
En bref : « Les protéines sont présentes dans la totalité des végétaux (hors huiles et sucres) et tout particulièrement dans les légumineuses, les oléagineux, le seitan et les céréales, autant d’aliments avec lesquels il est facile de composer une infinité de plats savoureux et pleins d’énergie.
Il est nécessaire de varier son alimentation sur plusieurs jours. De cette manière, une alimentation végétale équilibrée couvre sans difficulté tous nos besoins en protéines, et ce même pour les sportifs. »
Vous trouverez aussi diverses informations sur le site de l’association Vegan Impact : Le guide de l’alimentation végétalienne : https://www.veganimpact.com/guide-vegan
175 ans de prison pour Assange ? - Le monde vu d’en bas - n°28 (à propos de Julian Assange, et aussi coup d’état militaire au Soudan et du prisonnier politique Georges Ibrahim Abdallah) : https://www.youtube.com/watch?v=fBnc3RUGB2I
* InterReflections : Il n’y a pas encore de sous-titres français disponibles, mais si vous pouvez comprendre un peu une de celles disponibles (cliquer sur le “CC” à droite du réglage du volume), le film InterReflections évoque divers soucis de civilisation, synthétise diverses thèses et évoque des idées de solutions : https://vimeo.com/548639912
* « Donella Meadows : D’accord. Aujourd’hui, j’aimerais parler de la méthode de la dynamique des systèmes, en particulier des aspects philosophiques de cette méthode, pas des aspects mathématiques, pour vous dire ce que je considère comme l’essence de la dynamique des systèmes en tant que philosophie pour apprendre les systèmes complexes. C’est un peu comme décrire les lentilles de vos yeux que vous ne voyez jamais, vous ne voyez qu’à travers. Les philosophies de modélisation sont tout à fait ainsi. J’utilise les hypothèses sous-jacentes de ma méthode sans trop y penser tout comme un physicien ne pense pas trop aux bases mêmes de la physique ou le mathématicien ne remet pas vraiment en question deux plus deux égalent quatre. »
« Le système fonctionne littéralement de la manière opposée à celle d’une véritable économie lorsqu’il s’agit de durabilité ou simplement d’être économique au sens littéral. Alors que d’autre part, le système génère constamment des inégalités socio-économiques déstabilisantes ou des différentiels de classe accrus. Si nous n’avions pas de filets de sécurité sociale de base et de défis pour les riches par le biais de la fiscalité, en essayant de restreindre, par exemple, les consolidations par le biais de monopoles et de cartels, et cetera, même si tout cela est en réalité assez minime, comme j’y reviendrai , la population mondiale connaîtrait une disparité à l’effet de 1% de la population possédant 99% de l’ensemble des richesses et des revenus tandis que les 99% ne partagent que 1% de la richesse et des revenus.»
* « Donella Meadows : On m’a demandé de parler des systèmes et de la durabilité pour dire comment pouvons-nous vivre de bonnes vies pour tout le monde sur cette planète d’une manière qui préserve le fonctionnement de la planète et de toutes les autres créatures. Dans la mesure où j’ai un rôle, je suppose que c’est d’essayer de le voir dans son ensemble, d’essayer de voir les systèmes dans leur ensemble. C’est en grande partie parce que j’ai rencontré au début de ma vie des gens qui avaient des outils système et qui m’ont appris à les utiliser pour imaginer, penser, simuler pour comprendre les systèmes dans leur ensemble.
Et c’est principalement ce dont je vais parler aujourd’hui, mais je suppose que je devrais commencer par parler de durabilité. Je suis sûr que vous avez entendu un million de définitions. Je vais utiliser les définitions très strictes que Herman Daly vous a déjà données, je suppose, les trois nécessités biophysiques de la durabilité très clairement : (1) Chaque ressource renouvelable doit être utilisée à ou en dessous du taux auquel elle peut être régénérée ou peuvent se régénérer, c’est-à-dire les sols, les eaux, les forêts - sont une base de ressources renouvelables. »
Jérôme Segal : « Qui sont les animaux ? » : A propos du souci économique, écologique, politique et éthique, de la cause animale, la cause palestinienne, un article où est abordé la critique de la part de certains et l’intérêt du veganisme, et cetera : https://www.revue-ballast.fr/jerome-segal-qui-sont-les-animaux/
* Pour ceux qui ne le sont pas encore (véganes) et qui voudraient au moins tenter l’expérience, je ne me suis pas inscrit à leur programme, je m’étais informé de mon côté et je suis devenu végétalien vegan bien avant qu’ils le mettent en place, mais semble être très utile pour les débutants, se lancer : Veggie Challenge de l’association L214 (pour aider ceux que veulent s’y essayer, avec divers conseils) : https://vegan-pratique.fr/veggie-challenge/
En bref : « Les protéines sont présentes dans la totalité des végétaux (hors huiles et sucres) et tout particulièrement dans les légumineuses, les oléagineux, le seitan et les céréales, autant d’aliments avec lesquels il est facile de composer une infinité de plats savoureux et pleins d’énergie.
Il est nécessaire de varier son alimentation sur plusieurs jours. De cette manière, une alimentation végétale équilibrée couvre sans difficulté tous nos besoins en protéines, et ce même pour les sportifs. »
Introduction : “Les vaccins COVID qui ont été mis au point n’ont pas été conçus pour endiguer la pandémie à court terme. Ils ont été développés pour consolider les monopoles économiques et en créer de nouveaux.”
Introduction : “Les vaccins COVID qui ont été mis au point n’ont pas été conçus pour endiguer la pandémie à court terme. Ils ont été développés pour consolider les monopoles économiques et en créer de nouveaux.”
* Pour ceux qui ne le sont pas encore et qui voudraient au moins tenter l’expérience, je ne me suis pas inscrit à leur programme, je m’étais informé de mon côté et je suis devenu végétalien vegan bien avant qu’ils le mettent en place, mais semble être très utile pour les débutants, se lancer : Veggie Challenge de l’association L214 (pour aider ceux que veulent s’y essayer, avec divers conseils) : https://vegan-pratique.fr/veggie-challenge/
* InterReflections : Il n’y a pas encore de sous-titres français disponibles, mais si vous pouvez comprendre un peu une de celles disponibles (cliquer sur le “CC” à droite du réglage du volume), le film InterReflections évoque divers soucis de civilisation, synthétise diverses thèses et évoque des idées de solutions : https://vimeo.com/548639912
* “Donella Meadows : On m’a demandé de parler des systèmes et de la durabilité pour dire comment pouvons-nous vivre de bonnes vies pour tout le monde sur cette planète d’une manière qui préserve le fonctionnement de la planète et de toutes les autres créatures. Dans la mesure où j’ai un rôle, je suppose que c’est d’essayer de le voir dans son ensemble, d’essayer de voir les systèmes dans leur ensemble. C’est en grande partie parce que j’ai rencontré au début de ma vie des gens qui avaient des outils système et qui m’ont appris à les utiliser pour imaginer, penser, simuler pour comprendre les systèmes dans leur ensemble.
Et c’est principalement ce dont je vais parler aujourd’hui, mais je suppose que je devrais commencer par parler de durabilité. Je suis sûr que vous avez entendu un million de définitions. Je vais utiliser les définitions très strictes que Herman Daly vous a déjà données, je suppose, les trois nécessités biophysiques de la durabilité très clairement : (1) Chaque ressource renouvelable doit être utilisée à ou en dessous du taux auquel elle peut être régénérée ou peuvent se régénérer, c’est-à-dire les sols, les eaux, les forêts - sont une base de ressources renouvelables.”
* Culture en Déclin - Guerre contre la nature (vostfr, sous-titres à activer s’ils ne s’affichent pas, bas droite de la barre de lecture, à gauche du ptit engrenage) :
* De Mylonite Mrp : « Pour ceux qui se considèrent comme à part…
Ce titre très spécial est pour toutes celles et ceux qui se considèrent comme faisant partie du faible pourcentage d’anomalie humaine. En voie de disparition.
C’est un morceau complètement instinctif, malgré que la composition de l’instrumentale a demandé beaucoup de temps ! Le texte a pris moins d’une heure et l’enregistrement moins de 30 minutes. Vous allez peut être remarquer que ce n’est pas toujours dans les temps, mais vous allez surtout remarquer que ça ressemble à mes premiers titres (pour ceux qui connaissent), c’est à cœur ouvert. Même si le texte peut paraître léger au premier abord, prenez le temps de pousser un peu la réflexion sur certaines phases, car elles font référence à des choses très complexes… »
Personne s’autoproduisant, elle ne peut compter que sur notre soutien, le soutien des internautes, alors si vous en avez l’élan, pour soutenir Personne et le film “Le procès d’un procès” vous pouvez devenir coproducteur donateur (comprend lien d’accès à la page où vous pourrez voir le film) : http://www.lejournaldepersonne.com/campagne-de-soutien-film-proces-dun-proces/
Pour ceux qui découvrent Personne et son journal, et pour ceux qui n’auraient pas encore fait le tour des archives, vous trouverez plus de 1000 billets-vidéos sur la chaîne youtube : http://www.youtube.com/user/lejournaldepersonne
Vous y retrouverez les textes des billets de Personne de mars et d’avril, une interview qu’elle a accordé fin février et des de billets remis en avant dernièrement sur son site.
Il s’agit d’un recueil de textes que Personne a écrits pour son journal, philosophiques, poétiques, politiques, spirituels etc. Pour plus de détails, voir la description et extrait sur la fiche amazon.
À savoir que si vous n’êtes pas en France, vous devriez pouvoir le trouver sur la version d’amazon de votre pays en faisant une recherche dessus avec le titre de l’ebook, Le manuscrit de Personne, que les livres kindle peuvent être lus sur divers systèmes, pas uniquement sur les liseuses (cliquez, une fois sur la fiche, sur « Disponible uniquement sur ces appareils »), et que vous pouvez obtenir une application gratuite pour le lire (cf. la fiche amazon, du moins pour la version publiée sur amazon.fr).
Ceux qui apprécieront le(s) film(s), ont les moyens pour, souhaitent soutenir l’artiste de talents qu’est Personne, peuvent, en plus de participer à la campagne de soutien, offrir un ou plusieurs “billets suspendus” à des inconnus, sur le principe des cafés suspendus. Voir la dernière newsletter du journal : http://www.lejournaldepersonne.com/?wysija-page=1&controller=email&action=view&email_id=121
- “Je ne pensais pas un jour être végétarienne, ni même végétalienne. Et puis j’ai découvert l’enfer des élevages industriels et j’ai arrêté de faire semblant en mangeant. Ce n’est pas que je n’aimais pas le viande, le poisson, ou le fromage, au contraire, j’appréciais ces choses, mais il a fallu faire un choix et j’ai opté pour un mode de vie plus éthique, sans cadavres. Mon passage au végétalisme a été beaucoup plus facile que je ne le pensais. Il fait dire que je m’y suis préparée, sans pression, et que je me suis équipée pour mon mode de vie vegan, en remplissant notamment mes placards de substituts aux produits laitiers et aux œufs.” : http://auvertaveclili.fr/par-quoi-remplacer/
Description : “Cette série documentaire explore divers aspects de notre société. Pour repenser les possibles dans notre monde, nous devons envisager dans quel type de monde nous voulons vivre. Bien que nous nous y référions en terme de civilisation, elle est tout sauf civilisée. Les visions d’unité et de fraternité mondiale ont longtemps inspiré l’humanité, pourtant les arrangements sociaux d’hier à aujourd’hui ont largement échoué à réaliser un monde pacifique et productif. Alors que nous sommes techniquement avancés, nos valeurs et comportements ne le sont pas. La possibilité d’un avenir optimiste est en contradiction totale avec les dilemmes sociaux, économiques et environnementaux actuels.
« À Nous de Choisir » comprend l’interview d’éminents scientifiques, professionnels des médias, auteurs et penseurs étudiant les difficultés que nous rencontrons.
La première partie fournit une introduction et un aperçu des conditions culturelles et environnementales qui sont intenables pour une civilisation mondiale soutenable. Elle explore les déterminants du comportement pour démystifier le mythe de la « Nature humaine », tout en démontrant la façon dont l’environnement conditionne le comportement. La science du comportement est un ingrédient éminemment important dans notre culture, faisant pourtant largement défaut.
La deuxième partie s’interroge sur les valeurs, les comportements et les conséquences qu’entraînent nos structures sociales, et montre en quoi notre système monétaire mondial est obsolète et arrive de moins en moins à subvenir aux besoins de la majorité de la population. Un examen critique des fonctionnements bancaires, des médias, et du système judiciaire et pénal révèle ce que sont vraiment ces institutions : des outils de contrôle social, gérées par l’élite politique et économique établie. Si nous continuons sur le modèle actuel, les cycles familiers du crime, des booms économiques suivis de faillites, de la guerre et de destruction environnementale accrue sont inévitables.
La troisième partie (à paraître plus tard cette année) expliquera les méthodes et le potentiel de la science. Il y sera proposé des solutions qui pourront être appliquées dès maintenant pour éliminer le recours aux sources d’énergie non renouvelables. Cette partie dépeindra la vision du Venus Project: construire un monde entièrement nouveau en partant de zéro: une “refonte de la culture”, où tous bénéficient d’un haut niveau de vie, sans servitude ni dette, tout en protégeant l’environnement. Nous sommes à l’origine de la plupart de nos problèmes, mais il est encore temps pour nous de changer les choses avant le point de non-retour. Il n’est pas trop tard pour envisager une perspective optimiste des possibilités fantastiques qui s’offrent à nous.”
Bonne fin d’été, début d’automne, Bien à vous, Pascal
L’histoire du monde se fait ; Des points de vue tentent d’y tisser, De trouver des échos porteurs ; Valsent les éclats et les affréteurs, Les dés et les barques sont lancés ; Que restera-t-il de desseins à peine ancrés ?
L’astre du monde suit son cours ; La presse prisme pour des gratte-ciel, Chaque thèse peut se conforter autour, Contre ou pour l’événement et le sériel, Mais au final, les vagues aux rivages Et l’écume marque pour les âges.
De la Syrie en Ukraine, De la Palestine en Érythrée, Les peuples face aux intérêts, Des valeurs à la dérive américaine, D’autres à des ogres ou sur la voie des cimes, Et l’histoire se poursuit, y voguent les régimes.
Je me demande si un jour les cheminant pourront être sans craindre les bombes, la faucille de semblables au détour ; si la nuit les étoiles pourront paraître sans que la vie, de soif ou de faim, tombe sur les montagnes des spéculateurs. Pensez-vous la solution dans les barbelés qui joueraient la racine ? Tant que la main mise sur des cartes et nous aux divisions, chacun à ses accords, son échine, et face aux vagues, que sont les pancartes ? La tête sous l’eau peut savourer, mais pas en restant éternellement en apnée dans les marées de l’histoire. Alors peut-être est-ce dérisoire, un vain espoir sans élévatoire, mais nos terres ne sont des vases clos où après avoir envoyé des pétales de feu au loin de l’horizon, après avoir laissé faire, mi-clos, l’on peut se laver les mains et les yeux en empêchant les papillons. Et l’action ne devrait-elle sonder le fond, regarder l’aval après l’amont ? Je me demande si un jour, et la couleur que prendront les carrefours.
Pendant que des marchandises affluent, invitées par la grande porte, Des marées emportent des rêves et des corps dans la petite rue, la faucheuse en escorte face à des cœurs noués sur la grève.
Pendant qu’une main participe à la guerre, l’autre pose des briques sur un horizon, Le capital isthme de quelques-uns spécule même des vers, Aux survivants reste la quête d’une saison après l’écume du temps marin.
les jugements dressés qui peuvent se mouvoir avec le point de vue ; les pelures des connaissances des rouages accrochés à la surface ; les reflets et les poussières, les cendres de ce qui était cru ; les vagues et les roches éternelles jusqu’à ce qu’elles se cassent, sans que ne cesse pour autant la relève, ni la danse avec la terre ; une nuit, un jour, les falaises de l’aube et du crépuscule, et même une mer.
Et puis un jour la mort, puis la vie, les pages se tournent, se lient, un horizon se dessine d’un trait, souffle un nouveau vent frais, les lettres s’agencent à la lueur, les écrins s’ouvrent, fleurent, Une essence cristalline apparaît, Une fleur de ciel pousse vers l’étoilé.
Et puis l’œuvre du temps recommence, peut-être, forge le regard d’un sens, scelle le sort de quêtes.
Les marchés mettent en jeu des vies, Les enjeux font marcher des parvis, La balle aux pieds d’un système Qui fixe ses règles, multiplie les trirèmes, Porte les germes pour se perpétuer Jusqu’à ce qu’il en soit « décidé » Face aux flots et aux fournaises, L’incarnation d’une genèse.
Avez-vous fait l’univers, ce monde, la terre, comme une école pour les âmes, mais sans classe bien définie à notre regard ?
J’imagine bien qu’aucune action n’est en soi décisive face aux pieds de l’éternité, pour l’Histoire des Histoires, qu’il y a un tout et des gouttes dans ce tout qui suivent leur cycle, mais quand même ! Et je veux pas dire, mais… oui, bon. N’empêche ! J’espère que les guerres des hommes ne vont pas reprendre de plus belle. Ne suffirait-il pas d’un « rien » de votre point de vue mais d’une montagne de celui d’une fourmi que je suis ?! C’est bien pour cela ?
Les traits, les sillons Les rochers ont un enseignement Pour qui pose son regard, Éprouve les saisons, Qu’il soit en état sage ou garnement, Qu’il déroule le fil ou pose vers le phare. L’horizon peut ainsi devenir, Un éclat de conscience survenir, Mais en tout cas, l’instant se fait, Roule, ancre ses effets.
Chaque jour son lot, ses inattendus volants ou tourbillonnants, ses murs et son pote en ciel de solutions, ses pages à tourner, étudier, sentir, ses montées et ses descentes, ses impasses et ses voies. J’espère que l’année à venir aura ses belles leçons.
L’ombre de la mort plane sur la terre ; Dans la bande de Gaza, la vie suit son cours A côté des tombes et des souvenirs ; Entre murs et bombes, des humains se terrent, Sous les éclats, la mère veille nuit et jour ; A l’air libre, les fleurs cherchent leur devenir.
Les cycles passent, d’un âge à un autre Les ressources et les places en enjeu Comme un radeau sur une rivière dans un désert, Reste des bribes de poussière des apôtres Qui se perpétuent, se transmet en flambeau des cieux, Une Foi dans l’esprit, la grâce avec cours de la terre ; La force enracinée d’une Personne Ne s’en laisse pas compter, n’abandonne Face aux pressions, assauts destructeurs quand ils pleuvent, Entre eux et ceux qui font affaires, leurs épreuves.
A petit, les colons ont grignoté, Poussé hors, être à couvert, à découvert Des tunnels en nerf, à lutter à sa manière, Des humains au sort d’un tout agioté, Convoité, déchaîné, par instant apaisé. La mer, gardienne de l’essence des ciels, Écume ses espoirs au-delà des linceuls Pour des familles déchirées, destins croisés, Un souffle porteur d’élan du providentiel.
Sur la bande de Gaza, au bout des écueils, La lumière de la vie vibre sous les cendres, Un autre jour pour construire, pour entendre, Forger la voie qu’atome en feu ne peut éteindre, Un horizon que personne ne peut enceindre ; D’une âme à une autre, pour la Palestine Se tisse et lève, une fresque se dessine.
Mon pavis sur Il était une Foi… Gaza : un film qui nous fait traverser d’une rive à l’autre avec talents, avec une poésie qui touche, remue, raconte les profondeurs de l’âme humaine, de la vie et ses « passagers », nous laisse entrevoir les déchirures, les drames à Gaza, en Palestine, ce qui peut mettre à terre ici et ailleurs quand la guerre frappe à la porte, mais particulièrement « ici » où les colons se donnent un droit d’embargo etc. ; et ce qui peut fleurer - à - la transcendance, la force puisée dans la foi en des jours où il n’y aura plus d’usurpateurs mais des frères et des sœurs d’humanités pouvant fleurir sur leur terre, et en attendant, foi en la « vie », en ce qui lui donne corps. Et une belle troupe.
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