Intimité, Rose Pif, Le fachocialisme et L’Alternance - Poèmes, écrits inspirés par ceux de et l'art vidéo du Journal de Personne
Par Pascal Lamachère le jeudi, février 6 2014, 12:57 - Envolées poétiques - Lien permanent
Intimité : Une perle sensible sur un sujet intemporel
Intimité : http://www.lejournaldepersonne.com/2014/02/intimite/
Le dernier souffle d’un corps fait partie du cycle de la vie,
Mais au-delà de la vie, de la mort, il y a des énergies,
De l’énergie, une force, la main d’une âme qui laisse une empreinte qui nous touche, lien gardé dans un mouvement qui n’a d’arrêt qu’avec le Temps 0, qui dort dans un tiroir secret, invisible, que nous ne pouvons montrer telle quelle, au début à peine partagé, dévoilé par une retenue envolée, un peu de lumière couchée sur le papier, sur une peinture, une mélodie, une image, une histoire animée.
Les êtres chers de notre histoire, gravés dans le cristal, en laissent une qui résonne chaud au-delà de leur dernière heure, mêlée, démêlée aux salines, à l’écume qui érode le rivage, jusqu’à ce que le paysage resplendisse, vive comme aux premiers jours, l’au-revoir jamais vraiment consumé, que nous ayons eu ou non le temps de profiter des oscillations de leur flamme, belle place au cœur de l’intime.
Sur le journal de l’intime, nous nous dévoilons à soi, émoi du moi, et quand nous le partageons, à la libre interprétation, dire sans tout dire, tout dire sans dire grand-chose, au gré des aventures, des jours et des nuits, de ceux qui écoutent, porte ouverte sur des murs ou des fenêtres prêtes à s’ouvrir.
Près des fenêtres prêtes à s’ouvrir, rien ne s’oublie, tout se transforme, des murmures dans le noir aux volcans assourdissants, des rivières aux simples sourires aux rires joyeux, une valeur personnelle que nous ne pouvons troquer, qui ne s’achète, même pour ceux qui voudraient monnayer toutes les parcelles de vie privée et qui ont les moyens de la mettre en code-barres.
Pour les codes-barres, le flux du pain quotidien systématisé, et même sans, à l’heure où tout s’ancre sur la place, par choix et/ou par barrière de communication, exprimer de toutes façons l’existence sans vue d’ensemble, gardant un jardin secret, un ciel que nous ne pouvons ouvrir qu’à l’impalpable, source de la crypte aux mystères, et les yeux au présent.
Mais au-delà de la vie, de la mort, il y a des énergies,
De l’énergie, une force, la main d’une âme qui laisse une empreinte qui nous touche, lien gardé dans un mouvement qui n’a d’arrêt qu’avec le Temps 0, qui dort dans un tiroir secret, invisible, que nous ne pouvons montrer telle quelle, au début à peine partagé, dévoilé par une retenue envolée, un peu de lumière couchée sur le papier, sur une peinture, une mélodie, une image, une histoire animée.
Les êtres chers de notre histoire, gravés dans le cristal, en laissent une qui résonne chaud au-delà de leur dernière heure, mêlée, démêlée aux salines, à l’écume qui érode le rivage, jusqu’à ce que le paysage resplendisse, vive comme aux premiers jours, l’au-revoir jamais vraiment consumé, que nous ayons eu ou non le temps de profiter des oscillations de leur flamme, belle place au cœur de l’intime.
Sur le journal de l’intime, nous nous dévoilons à soi, émoi du moi, et quand nous le partageons, à la libre interprétation, dire sans tout dire, tout dire sans dire grand-chose, au gré des aventures, des jours et des nuits, de ceux qui écoutent, porte ouverte sur des murs ou des fenêtres prêtes à s’ouvrir.
Près des fenêtres prêtes à s’ouvrir, rien ne s’oublie, tout se transforme, des murmures dans le noir aux volcans assourdissants, des rivières aux simples sourires aux rires joyeux, une valeur personnelle que nous ne pouvons troquer, qui ne s’achète, même pour ceux qui voudraient monnayer toutes les parcelles de vie privée et qui ont les moyens de la mettre en code-barres.
Pour les codes-barres, le flux du pain quotidien systématisé, et même sans, à l’heure où tout s’ancre sur la place, par choix et/ou par barrière de communication, exprimer de toutes façons l’existence sans vue d’ensemble, gardant un jardin secret, un ciel que nous ne pouvons ouvrir qu’à l’impalpable, source de la crypte aux mystères, et les yeux au présent.
Rose Pif : Une perle d’humour sur des sujets d’actualité et intemporels
Rose Pif : http://www.lejournaldepersonne.com/2014/02/rose-pif/
Le parle ment aux pifs des électeurs
S’échoue sur les récifs des citoyens
A naître dans la glaise sous étrange douleur
Qui pétrit avec les griffes des vaut rien
Et de ceux et celles qui le valent bien,
A côté des chasseurs de peau qui se leurrent
A l’affût des pailles, enflammées sans soin,
Et les trouvères aux nuages flâneurs
Les plaintes sans cible, et même avec,
Peuvent se tromper de fléchettes ou d’arc,
Mais par l’essence de Thot, des pieds au bec,
Se fait l’incarnation du verbe et de la barque
Foin des métaux, qu’importe pointes près d’iliaque,
La vie en rose voit la réconciliation
De l’apollinien et du dionysiaque,
Et en fin le serpent changera de position.
Le fachocialisme : Une perle poétique sur le cynisme, l’ère du temps politique, médiatique
Le fachocialisme : http://www.lejournaldepersonne.com/2014/01/le-fachocialisme/
Ah ! Les ampoules d’une certaine presse,
Mal ampoulées dans la suie et le sang,
A se nourrir du, donner mal aux dents
La tête dans le mur, cette presse presse :
Par paresse ou par oppresse,
Combat Don Quichotte et sa forteresse.
Ah ! Les moulins d’une certaine presse
Qui moulent (en Hollande) pour enfariner,
Sans recul, dos au pré résident.
La tête dans le vent, cette presse messe…
Pour engranger, accrochée au couperet,
Elle s’effiloche, l’encre recouverte dans l’élan :
Il ne lui restera plus qu’à solder le parvis
Et nous à jouer à mais où est donc Charlie.
L’Alternance : Une perle poétique
L’Alternance : http://www.lejournaldepersonne.com/2014/01/lalternance/
Les blés dans les champs
Dansent alors que tourne vent,
Oiseaux de saison
Le reflet du temps,
Bulletins de Thanatos
Alternent les uns
Dans l’instant du bond,
Grave le frisson des os,
Les pairs profitent
Âmes dans les champs,
L’ère lie et délie notes,
Nostalgie en côte.
A propos de la solitude sur la rivière du temps, à lire : Le bord de la solitude : http://cm.revues.org/462
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D’autres vidéos à apprécier sur Le Journal de Personne : http://www.lejournaldepersonne.com
/ JdP / — PRESCRIPTEUR |
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