* Compilation de liens avec en photo couverture des livres sur divers sujets (économique, politique, covid 19, santé, recettes véganes, antispécisme, paranormal, écologie, et cetera) : https://diaspora-fr.org/posts/7537499
* Si vous la découvrez, vous pourrez zyeuter un certain nombre de billets sur la rubrique ouverte à tous - De l’info-scénario pour traiter une question d’actualité… Recueil de journaux pour Tous : https://www.lejournaldepersonne.com/category/recueil/
* A propos du journal de Personne, n’hésitez pas à soutenir cette artiste de talents qui info-scénarise l’actualité avec philosophie-poésie depuis de nombreuses années : Campagne de soutien du journal de Personne : https://www.lejournaldepersonne.com/soutien-journal-de-personne/
* Quand la Science appelle à l’aide pour l’humanité ? Aurélien Barrau, Astrophysicien, sur la science, l’écologie, l’environnement, les politiques : https://www.youtube.com/watch?v=XO4q9oVrWWw
* Audition programmatique 11 - Constituante - Madame Mabrouka M’Barek, députée constituante tunisienne, aux auditions programmatiques de JLM2017 : https://www.youtube.com/watch?v=I3yUcq2_umA
* Bernard Friot, pour une solution écologie - économie : pour une sécurité sociale de l’alimentation (du transport, du logement etc.) : https://www.youtube.com/watch?v=dLHSYdFUc3s
Sur cette liste, les recettes sont listées en-dessous des photos, avec lien qui amène pour certaines sur page où il y a plusieurs, parmi un menu.
Si vous la découvrez, ne connaissez pas trop ses créations, vous trouverez un florilège, une sélection de 27 billets-vidéos des années passées est accessible à tous : De l’info-scénario pour traiter une question d’actualité… Recueil de journaux pour Tous ! : https://www.lejournaldepersonne.com/category/recueil/
Une vidéo qui présente la démarche de l’Artiste : Je suis et je ne suis Personne
Extraits : « Quand je suis arrivée en France de mon Chili natal, au début des années 1980, j’entendais souvent cette phrase : « L’Amérique est en avance. » J’avais beau n’avoir que dix piges, et scotcher sur Starsky et Hutch le dimanche comme tous les gosses, le terreau culturel et politique où j’avais poussé m’avait déjà appris à me méfier des phrases inachevées. Je pensais : « Pourquoi ils appellent “Amérique” les USA ? » Et puis « En avance ?… OK, mais pour aller où ? » Aujourd’hui, nous connaissons la destination du « rêve américain », puisque nous y sommes. Un monde où 85 hommes détiennent autant de richesses que la moitié de la population mondiale, mais où la lutte des classes fait office de relique ; un monde où, dans un des cinq pays les plus riches et « développés », la France, pour ne pas la nommer, une femme meurt tous les trois jours sous les coups d’un homme de son entourage ; un monde où la blancheur de la peau demeure la meilleure protection contre les crimes policiers1 ; un monde où la planète est si polluée que les cordons ombilicaux sont saturés de pesticides, où des écosystèmes sont ravagés et des catastrophes qualifiées de « naturelles », un monde où l’on assiste à la catastrophe humanitaire de millions de migrants cherchant refuge auprès d’une Europe opulente et amnésique, à la privatisation des biens publics et la publication de la privacité, à l’atomisation des sociabilités, à l’anomie et à la solitude des métropoles, à la menace terroriste amplifiée par les États qui y trouvent une formidable aubaine pour faire passer leurs réformes impopulaires et criminaliser toute forme de radicalité… Bref, une ploutocratie préfasciste, dont Trump est la parfaite illustration. »
« Pour nous, activistes décoloniales, il est clair que nous sommes en plein virage — d’où les nombreuses sorties de route. Et nous savons aussi que nous ne verrons pas l’aboutissement de notre vivant de ce tournant ; nous avons aussi tout à fait conscience que l’on n’abat pas un système vieux de 524 ans en quelques décennies : il est question de changement de paradigmes et d’échelles, de valeur, et de grandeur. Mais pour nous, une chose est certaine, c’est que s’il reste une chance à ce monde globalisé de se métamorphoser (comme le souhaite Edgar Morin) ou (comme ambitionne de faire la revue Ballast) de rassembler ce qu’il y a de plus fécond dans les trois principaux mouvements d’émancipation nés en Europe dans le giron de la révolution industrielle — le communisme, le socialisme et l’anarchisme —, il va falloir composer avec ce qui pour nous est et sera la grande aspiration révolutionnaire du XXIe siècle, c’est-à-dire la décolonialité. Peut-être même que nous finirons par adopter un suffixe en -isme, et ce dans l’objectif clair et précis de rénover les utopies et de détruire le système capitaliste-racial-patriarcal. Cette chimère à trois têtes qui sait parfaitement s’adapter à tous les contextes humains, polymorphe et coriace, changeant d’apparence en fonction de l’environnement et des situations. Attaquées séparément, une des trois têtes prend les commandes, visibilisant un type de domination, les deux autres mises en sourdine continuent à nourrir celle qui fait face tout en assurant les arrières : combattues isolément, les trois têtes constituent une entité invincible. Nous, nous vous proposons de « faire d’une pierre trois coups » en visant le cœur de ce monstre qui terrorise nos vies depuis si longtemps, pour enfin changer d’ère. Rien de moins. »
Présentation : Nicolas va rencontrer la famille de sa fiancée Victoire. Pour leur plaire, il va devoir jouer à un jeu de société qui dure depuis des générations.
Extrait : « Que reste-t-il contre les avancées de ce racisme, de la violence, de la confessionnalisation des luttes, contre cette pseudo-libre concurrence source de paupérisation absolue, contre la bêtise politicienne électoraliste ?
Affirmer, à notre tour, l’unité du monde mais sans exiger que pour y vivre, il faille être « comme tous les autres ! ». Le monde unique est au contraire le lieu où existe « l’infinité des différences », source d’un irremplaçable échange d’expériences utiles pour chacun ! »
Introduction : « Depuis 15 ans, Dominique Lestel critique le discours philosophique traditionnel sur les animaux et pourfend l’idée qu’il y aurait « un propre de l’homme », idée qu’il qualifie de « toxique ». Il a ainsi étudié le vécu subjectif des animaux, la singularité psychologique de chaque individu. Pour Lestel, les animaux ont une vie mentale riche et les humains sont des animaux parmi les autres.
Bien souvent, adhérer à ces thèses n’empêche pas les éthologues ou les philosophes de manger de la viande. Mais ils le font généralement avec une mauvaise conscience plus ou moins prononcée. Lestel, au contraire, est fier de manger de la viande. Il va jusqu’à consacrer un pamphlet, paru en avril 2011, à « l’apologie du carnivore » et à la critique sévère des végétariens éthiques, ceux qui pensent que la consommation de viande est illégitime. Voilà qui semble bien difficile sans avoir recours à des arguments spécistes ou à des théories éthologiques surannées. Comment Lestel va-t-il s’y prendre ? »
Conclusion : « Lestel, dans ce livre, est à côté de la plaque. Son premier service sur les végétariens ne parle pas des végétariens, mais d’une caricature qui n’a pas grand chose à voir avec les végétariens réels. Ses arguments sont de grossiers sophismes fondés sur des confusions volontaires et des mensonges. Son second service consiste à appliquer l’éthique de chasseurs de subsistance à des humains qui mangent des animaux d’élevage sans aucune nécessité, par caprice. Son discours éthique est proprement délirant.
Je retiens toutefois quelque chose de positif de ce texte : quand on en est réduit à écrire tant de sophismes, de bêtises, de propos incohérents, c’est qu’on n’a pas d’argument. »
Extrait : « Le chemin de la norme est celui de la moindre résistance. Nous le suivons quand nous sommes en pilotage automatique, sans nous rendre compte que nous agissons d’une manière que nous n’avons pas consciemment choisie.
Il est beaucoup plus facile de se conformer à la norme que de la contrer. Les aliments carnés sont facilement disponibles alors qu’on ne trouve pas partout des menus sans produits animaux. Les végétariens se trouvent souvent obligés de justifier leurs choix, ou de s’excuser du dérangement causé parce qu’ils ne mangent pas comme les autres. Ils sont fréquemment caricaturés ou tournés en ridicule. »
Extrait : « Nous faisons la déclaration suivante : « L’absence de néocortex ne semble pas empêcher un organisme d’éprouver des états affectifs. Des données convergentes indiquent que les animaux non-humains possèdent les substrats neuroanatomiques, neurochimiques et neurophysiologiques des états conscients, ainsi que la capacité de se livrer à des comportements intentionnels. Par conséquent, la force des preuves nous amène à conclure que les humains ne sont pas seuls à posséder les substrats neurologiques de la conscience. Des animaux non-humains, notamment l’ensemble des mammifères et des oiseaux ainsi que de nombreuses autres espèces telles que les pieuvres, possèdent également ces substrats neurologiques. » »
Introduction : « L’anthropologue Claude Lévi-Strauss estimait que « l’homme a resserré trop près de lui-même les frontières de son humanité ». À ne plus appréhender le monde qui nous entoure autrement que par ce que nous pouvons y prendre, nous n’avons de cesse de surexploiter le milieu naturel et de menacer sa capacité de régénération. Aurélien Barrau, astrophysicien, chercheur et auteur de l’essai Des univers multiples, est de ceux qui regardent avec la même passion le très lointain — des trous noirs à la gravité quantique — comme ce que, juste à nos côtés, nous refusons trop souvent de voir : le sort infligé aux animaux afin qu’ils puissent régaler nos assiettes. C’est sur ce dernier sujet, très précisément, que nous avons tenu à l’interroger. »
Introduction : « Bien sûr, nous condamnons tous l’exploitation économique, le racisme, la domination masculine et l’homophobie. Bien sûr. Mais cette évidence de la lutte s’effondre dès lors qu’il est question des animaux : la dignité, bien sûr, mais seulement pour le petit cercle des humains. Les victimes de l’exploitation animale sont autrement plus nombreuses, pourtant, que celles causées par les abominations sus-mentionnées — on dira, offusqué, que ce n’est « pas pareil ». Ça ne l’est pas, en effet : les hommes oppriment au grand jour leurs semblables mais suppriment les bêtes à l’ombre — les sociétés industrialisées, supposément transparentes et hostiles à la violence, planquent leurs abattoirs. Ce mois-ci, plusieurs manifestations (à Paris, Kyoto, Sydney, Los Angeles ou Buenos Aires) ont exigé leur fermeture. Le romancier Vincent Message monte au front avec Défaite des maîtres et possesseurs : ses pages mettent en scène un futur proche, si proche qu’on peine à le situer, dans lequel l’Homo sapiens n’est plus l’espèce dominante. Une autre, « supérieure », traite les humains de la même façon que nous traitons les animaux au quotidien. Un roman, proche du conte philosophique, qui appelle à penser l’émancipation dans toute sa cohérence. »
Extrait : « L’équipe de l’Oxford Martin School a donné les résultats de son étude dans une revue scientifique américaine sérieuse (la PNAS). Elle dit aussi que réduire grandement la consommation de viande pourrait permettre d’économiser presque 1,9 mille milliards d’euros si l’on prend en compte tous les dégâts liés au changement du climat.”
“L’étude montre que si tous les habitants du monde adoptaient un régime plus équilibré, avec moins de viande et plus de fruits et légumes, 5,1 millions de décès seraient évités. Ce chiffre monte à 7,3 millions si nous adoptions tous un régime végétarien, et à 8,1 millions si nous devenions tous végétaliens.
Un régime plus équilibré permettrait aussi de réduire de deux tiers les émission de gaz à effet de serre et de diminuer les émissions liées à la production alimentaire de 30 % ; cela monterait à 63 % avec un régime végétarien et à 70 % avec un régime végétalien. »
* « Rien ne pourra être plus bénéfique à la santé humaine, ni accroître les chances de survie de la vie sur la Terre, qu’une évolution vers un régime végétarien. »
– Albert Einstein
Lorsqu’il est incarcéré en Afrique du Sud, en l909, Gandhi (1869-1948) lit du Tolstoi. Il considère ce dernier comme « l’homme le plus véridique de son temps », déclarant même que « la Russie lui avait donné en Tolstoi, un gourou». Peu après sa sortie de prison Gandhi fonda « Tolstoy Farm » (La Ferme de Tolstoi) près de Johannesburg, une commuauté rurale dédiée à l’ahimsa. Au nom de la non-violence, la nourriture y est végétarienne et la chasse interdite. Tout comme Tolstoi, Gandhi pensait que toutes les violences sont liées et que le « meurtre d’une vache et le meurtre d’un homme sont les deux côtés de la même médaille. »
Une des dernières lettres de Tolstoi est datée du 7 septembre 1910 et s’adresse à Gandhi. Cette longue missive est presque comme un testament sur son refus absolu de la violence basée sur le droit du plus fort. Que faire, se demande Tolstoi, contre la « criminalité qui augmente, le chômage, le luxe grandissant, insensé, des riches et la misère des pauvres, le nombre croissant des suicides ? » Il n’y a qu’une solution, écrit-il à Gandhi, celle de la « reconnaissance de la loi d’amour et du refus de toute violence….car l’amour est la loi supérieure, unique de la vie humaine ».
Pour ce Tolstoi si proche de la mort, pour l’anarchiste, le rebelle qui pendant toute sa vie a refusé l’autorité, l’exploitation et l’asservissement des plus vulnérables, ne compte plus que l’ultime pouvoir que les humains possèdent tous, en leur âme et conscience : celui de se libérer et de libérer tous les êtres vivants. »
Pour ceux qui découvrent Personne et son journal, et pour ceux qui n’auraient pas encore fait le tour des archives, vous trouverez plus de 1000 billets-vidéos sur la chaîne youtube : http://www.youtube.com/user/lejournaldepersonne
* Personne s’autoproduisant, elle ne peut compter que sur notre soutien, le soutien des internautes, alors si vous en avez l’élan, pour soutenir Personne et le film “Le procès d’un procès” vous pouvez devenir coproducteur donateur (comprend lien d’accès à la page où vous pourrez voir le film) : http://www.lejournaldepersonne.com/campagne-de-soutien-film-proces-dun-proces/
Depuis hier, l’humanité aurait consommé la totalité du “budget écologique” annuel de la Terre. Si la population mondiale consommait comme la France, d’aucuns pensent que 3 planètes Terre seraient nécessaires.
Ceci dit, il me semble que le « dossier » / « problème » est à mettre en perspective avec le régime alimentaire (et mode de production), façon de faire de la politique et de mener « l’économie » (problème de l’obsolescence programmée, production dispensable pour alimenter un système de consommation-travail-consommation etc.).
* Bref, voici des compilations de docs que je vous invite à consulter :
- Selon une “étude : si tout le monde devenait végétalien, on sauverait 8 millions de vies” (7,3 avec régime végétarien) : https://framasphere.org/posts/2040790
* Je vous invite encore et toujours à soutenir Personne, Artiste qui info-scénarise des questions de société et d’actualité avec talents. A voir notamment son billet pour les jeux olympiques :
Comme elle s’autoproduit, elle ne peut compter que sur notre soutien, le soutien des internautes. Alors si vous en avez l’élan, pour la soutenir, vous pouvez devenir coproducteur donateur (comprend lien d’accès à la page où vous pourrez voir le film) du film “Le procès d’un procès” : http://www.lejournaldepersonne.com/campagne-de-soutien-film-proces-dun-proces/
* Quelques liens poèmes, textes de moi (via liens sur Facebook et Framasphere, mais même si vous n’y avez pas de compte vous devriez pouvoir y accéder, les lire) :
Vous y trouverez les textes des billets de Personne des mois de mai et juin, ainsi que des anciens republiés sur sa page Facebook ; au sujet du Ramadan, de la musique, de l’amour, de Mohammed Ali, de la politique et caetera.
Pour ceux qui découvrent Personne et son journal, et pour ceux qui n’auraient pas encore fait le tour des archives, vous trouverez plus de 1000 billets-vidéos sur la chaîne youtube : http://www.youtube.com/user/lejournaldepersonne
* En vrac, sur divers sujets (écologie, Loi Travail, mouvement Nuit Debout, Brexit, culture, points de vue sur l’économie, critique des médias et cætera), voici des vidéos, documentaires, conférences, articles à voir / lire, compilation de liens à consulter :
Extrait : « Aujourd’hui, la critique du capitalisme est omniprésente dans les esprits sans que jamais on ne le nomme (« c’est comme ça », « c’est la vie », « c’est le système qui le veut »…), mais culpabilisation des populations par la dette, pression sociétale par la menace du chômage et aliénation à son travail n’ont jamais été aussi fortes. En 2014, un Parti Socialiste en principe héritier du Front Populaire en vient sans vergogne à pouvoir remettre en cause le CDI en France, sous l’appel du pied d’un MEDEF ne représentant que les plus grosses entreprises. Il n’y a plus aucune honte. C’est un mouvement total, au sens de totalitaire, de soumission au Marché qui s’est mis en place ; mouvement total car ayant pris place dans la totalité des institutions et dans la totalité des corps jusqu’à l’aliénation du travailleur au système néo-libéral. Non plus seulement parce qu’il lui permet de consommer ce dont il désire au sein d’une société mimétique, mais parce qu’il le pousse à aimer le Capital, pour l’esprit qu’il serait censé véhiculer. Tout cela s’est fait lentement, au fil des régimes. Nul ne l’a vraiment vu venir, mais tous l’ont senti. »
Extrait : « L’anthropologue Stanley Diamond souligna le lien unissant tous ces attributs en écrivant: « La civilisation découle des conquêtes à l’étranger et de la répression domestique. »
Le dénominateur commun, c’est le contrôle. La civilisation c’est la culture du contrôle. Une civilisation, c’est un petit groupe de gens contrôlant un large groupe via les institutions propres à cette civilisation. Si ces gens se trouvent au-delà des frontières de cette civilisation, alors ce contrôle prendra la forme d’armées et de missionnaires (des spécialistes religieux ou techniques). Si les gens à contrôler sont à l’intérieur des limites de la ville, de la civilisation, alors le contrôle pourra prendre la forme de militarisation domestique (la police, etc.). »
“Qu’est-ce qui nous rend humains ? Est-ce le fait d’aimer, est-ce le fait de lutter ? Le fait de rire ? De pleurer ? Notre curiosité ? Notre quête de découvertes ?
Poussé par ces questions, le réalisateur et photographe Yann Arthus-Bertrand a passé trois années à collecter les histoires de 2 000 femmes et hommes dans 60 pays. Avec son équipe passionnée de traducteurs, journalistes et cameramen, Yann a capturé en profondeur les émotions et les sujets qui nous unissent tous : les luttes contre la pauvreté, la guerre, l’homophobie et le futur de notre planète, mêlées à des moments d’amour et de bonheur.”
Le VOL.1 aborde les thèmes de l’amour, des femmes, du travail et de la pauvreté :
Le VOL.3 aborde les thèmes du bonheur, de l’éducation, du handicap, de l’immigration, de la corruption et du sens de la vie : https://www.youtube.com/watch?v=IPW_jYHZ45Y
Présentation : “Professeur de droit et d’éthique à Harvard, fin constitutionnaliste, Lawrence Lessig a été le conseiller de Barack Obama en 2008. Il aurait pu être juge à la Cour suprême. Il a décidé de se rebeller contre le système. Depuis plus de sept ans, cette icône de la culture libre sur Internet, dénonce sans relâche l’emprise des intérêts privés sur la démocratie américaine. Candidat à la présidentielle depuis août 2015, membre du sérail, intellectuel respecté voire adulé du Web, il est l’ovni de cette campagne plus que jamais gouvernée par l’argent. Il dérange, agace. Jusqu’à quand ? »
Présentation : « Dans les pays occidentaux, les cas de diabète, d’hypertension, d’obésité, de cancers se multiplient et la consommation de médicaments explose. Et s’il existait une autre voie thérapeutique ? Depuis un demi-siècle, en Russie, en Allemagne et aux États-Unis, des médecins et des biologistes explorent une autre piste : le jeûne. »
Présentation : « Ingrédient de plaisir, le sucre est présent dans une foule d’aliments consommés quotidiennement. Mais aujourd’hui, il est également associé à un problème de santé publique. Alors qu’une augmentation inquiétante du diabète et de l’obésité est observée, de nombreux spécialistes pointent du doigt les excès de sucre. Mais pourquoi sa consommation continue-t-elle de croître, malgré les messages de santé ? Comment l’industrie agro-alimentaire parvient-elle à rendre les consommateurs dépendants à substance qu’il faudrait pourtant consommer avec modération ? Et que penser des édulcorants, naturels ou chimiques, utilisés dans les produits «minceur» ? «Cash investigation» mène l’enquête sur les enjeux économiques de cette question de santé publique. »
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