Compilation poétique. Poèmes sur l'ère politique, spiritualité, philosophiques, l'évolution, le changement, massacre d'Israël en Palestine
Par Pascal Lamachère le lundi, juillet 14 2014, 05:27 - Envolées poétiques - Lien permanent
A coeur ouvert
Inspiré par Je change les règles !
http://www.infoscenariodepersonne.com/change-les-regles/
Dis, ne vois-tu pas l’enfer sur terre qui danse
A travers les bombardements des paradis,
Nuages rouges qui menacent l’espérance,
Où les assassins sont de tous les parvis ?
Dis, ne vois-tu pas que côté pile ou face,
Il y a des victimes qui n’ont rien demandé,
Si ce n’est de vivre sans aucune menace,
Et nous, spectateurs de toutes ces atrocités ?
Dis, vois-tu le paradis du ciel qui danse
A travers l’horizon où s’éteint l’enfer,
Nuages embrasés par ombre d’essence
Où s’envole toute la beauté de nos airs ?
Dis, vois-tu toutes ces étoiles qui brillent
Pour toi, pour moi, pour nous, toujours présentes,
Que l’on peut (ac)cueillir jusqu’au fond de la quille
Et nourrir, offrir en fleurs aimantes ?
Dis, ami(e), étranger et autre de moi,
Sais-tu que toute la misère peut avoir une fin,
Que l’infâme qui fait couler le sang sans faim
Est comme marionnette dont on peut couper la « loi » ?
Dis, ami(e), étranger et autre de moi,
Sais-tu que l’on peut se lever, tendre nos poings
Pour faire tomber le voile qui nous laisse coi
Et tracer une voie pour les cimes des deux-mains ?
Dis, ami(e), étranger et autre de nous,
Sais-tu tous les mensonges dont on s’est abreuvés,
Tout le mal dont on a laissé « corps » pour juste des sous,
Pour un plaisir éphémère au sens insensé ?
Dis, ami(e), étranger et autre de nous,
Sais-tu ce qui se passe vraiment à Gaza et ailleurs,
A quel point des peuples souffrent en ces heures
Parce qu’on s’est endormis dans cette matrice « jusqu’au cou » ?
Dites, savez-vous, au fond, je n’en sais rien,
J’aspire, j’espère, je transpire poussière de rêves ;
Puisse se faire, pour chacun se tracer le chemin
Vers un demain où ne sera pas souillée la sève.
Dites, savez-vous, au fond, je n’en sais rien,
J’aspire, j’espère, je transpire poussière d’étoiles ;
Puisse se réaliser, pour chacun se former heureux demains,
Sans oublier de se lever pour tout ce(ux) qu’il y a au-delà du voile…
Pour une terre que nous avons polluée,
Pour les peuples qui se font décimer,
Pour les créatures que nous avons égorgées,
Pour nous que nous avons laissés enchaîner…
Et si on changeait le monde ? : http://pascal.lamachere.free.fr/index.php?category/Et-si-on-changeait-le-monde
Le changement par l’assiette : http://www.lejournaldepersonne.com/2013/02/le-changement-par-lassiette-p-lamachere/
* * * * *
* * * *
Dans un regard
Inspiré par Les yeux de Gaza
http://www.infoscenariodepersonne.com/les-yeux-gaza/
Dans un regard, la douleur d’un peuple,
L’expression, la survie de l’innocence
Qui bondit, rugit des maux en silence,
Trouve une voix contre ce qui la dépeuple.
Les mots d’un drame, racines sous l’incandescence,
Un ciel qui tourne, assomme, renverse les falaises,
La faux qui court à travers champs, gâche la genèse,
Des demeures dissoutes dans la déliquescence,
Dans un regard.
L’envie de vivre par-delà, souffle sur braises,
De faire surgir la flamme hors de la glaise,
De rendre hommage aux bras qui l’ont portée,
A l’essence des couleurs qui l’ont élevée,
De les brandir pour fin du temps de la fournaise,
Dans un regard.
* * * * *
* * * *
Inspiré par Du côté de chez soi
http://www.infoscenariodepersonne.com/du-cote-chez-soi/
A côté de nos âmes étoilées,
des failles,
l’ombre de combats,
le fleuve qui coule, érode,
dépose çà et là le limon,
des diamants et des charbons,
des réactions face aux différences dé-voilées
dans le jeu des miroirs,
pile aux effets,
et qui creusent un peu plus le lit des torrents ;
des torches et des mains qui pansent les plaies,
des coeurs qui étanchent la soif d’eau clarifiée,
des yeux qui lèvent, soulèvent, portent les cieux,
des souffles qui apaisent les tempêtes,
des aspirations à partager le pain,
aux actions solidaires incarnées,
à respecter le bout de l’autre,
des genoux qui appellent le meilleur,
des voeux à faire plier les vendeurs d’armes,
les marchands de sable empoisonné,
les poseurs de code barre sur tout ce qui existe,
les vampires prêts à spolier les pays,
à aspirer leurs terres et leur ciel
sans se soucier des tombes qu’ils creusent,
du fleuve qu’ils détournent, rendent abysses ;
et des volontés à écrire suite de l’Histoire
et poser sur l’horizon
les promesses d’un grand soir
pour la vie de chaque créature sur le parvis,
les beautés de la nature,
les portes ouvertes sur l’infini…
* * * * *
* * * *
Inspiré par À bout de souffle
http://www.infoscenariodepersonne.com/bout-souffle/
Souffle impalpable
Caresse, apaise l’esprit,
Musique d’âme
Mélodie du cœur
Suit le rythme, lie notes,
Vol vers mystère
Doigts des étoiles
En retracent un bout vers vie,
Don qui s’offre en tout,
Jusqu’au champ ouvert
Où se joint et concentre
Le sens recueilli.
* * * * *
* * * *
Inspiré par Bar Académie : PLATON
http://www.infoscenariodepersonne.com/bar-academie-platon/
Flamme divine,
Autour danse son ombre,
Projette le ciel
Au point sensible,
Les rayons d’or intérieur
Subliment, guident
Dans la nuit, brume,
Vers l’étoile, sommet clair,
Cime résonnante
Soif et faim sans fin,
Retenus par vergogne,
Sondent l’infini
L’essence qui lie,
Relie idées, haut, tout autour
Flamme divine
* * * * *
* * * *
Inspiré par LA GAUCHIASSE
http://www.infoscenariodepersonne.com/gauchiasse/
La rose si belle,
Côté cœur,
Le jardinier si oublieux
Côté ficelles,
Ses selles en fleur,
Laisse peu de marge aux cieux.
La rose si belle
Voltige, bat des ailes,
Pour survie, manifeste par épines,
Le jardinier sur le reflet de terre,
Le terreau fertile hors de la serre,
N’écoute le flux de l’échine.
La rose si frêle et si forte
Murmure ses souhaits aux vers,
Aux pieds du prochain,
A la tête de la prochaine cohorte,
Le jardinier, un pied dans les fers,
L’autre pour soi, verse le sang au malin.
La rose si frêle et si forte
Cueille les songes,
S’y écueillent illusions mortes,
Les ombres, elle longe,
De son reste de lumière toile la mire,
Le jardinier y est appelé à s’y ressaisir.
* * * * *
* * * *
Inspiré par Des soumis et des hommes
http://www.infoscenariodepersonne.com/soumis-hommes/
L’oiseau vol au vent,
Libre de suivre courant,
Déployer ailleurs
Partir, revenir,
Essence de liberté
Portée par ailes
Nourrit les demains,
Fait fleurir des étoiles,
Pose ciel dans nid
Fait cours de sa vie
Sous le regard de cime,
Grandit l’essentiel.
* * * * *
* * * *
Inspiré par Une porte qui s’ouvre…
http://www.infoscenariodepersonne.com/porte-souvre/
Une porte qui s’ouvre sur les autres, le cœur sur la main,
Les cieux détournés du fond de l’abîme,
Les pétales, tournés vers les murmures, tissent les liens
Dans la demeure où rentre l’air des cimes.
Une porte qui s’ouvre avec les braises de la piété,
Refuge pour les âmes navigant
Sur les flots de la vie, par le souffle les ravivant,
Dans l’essentiel trouvent la satiété.
Une porte qui s’ouvre avec la clef intérieur
Et la main du destin incarné,
La fortune hors des poches et richesse embrasée,
Apporte des horizons chanteurs.
Une porte qui s’ouvre vers la nécessité
Du voyage des ardents empreints de respect,
Les ténèbres retenant, contournant, repoussant,
Forge l’éclat du foyer béni hors du temps.
* * * * *
* * * *
Pour L’essence sans plomb
http://www.infoscenariodepersonne.com/lessence-plomb/
Contes de faits défilent,
Des se fondent dans des fils
Rassemblés pour une création,
Trame qu’une baguette tisse
Avec son encre élévatrice.
Moteur, ça tourne, action :
L’essence donne l’horizon,
Des abîmes aux cimes, dans l’interstice,
La fée avive, les voix donnent corps, font résonner
Le chemin vers les sens spectateurs qui recréent.
* * * * *
* * * *
Inspiré par France sous influence
http://www.infoscenariodepersonne.com/france-influence/
Ô géants du monde,
Voyez-vous à vos souliers
Les sillons écarlates,
Vos créations immondes,
Les os et les cendres rongés,
Les rondes rendre plates ?
Ô géants du monde,
Voyez-vous au-dessus,
Le ciel ouvrir les nues
Vers les fosses, catacombes
Qui pèseront sur vos âmes,
Vous entraîneront dans les flammes ?
Ô géants du monde,
Voyez-vous l’horizon
De vos collaborations
Qui engouffrent les colombes,
Enflamment fils de Palestine,
Et nous à tenter de décourber l’échine ?
Ô peuples du monde,
Du coq, des aigles, toute la cohorte,
Nous dresserons-nous avant l’heure morte
Pour libérer la féconde,
Faire tomber un autre mur de la honte
Et mettre fin aux tontes ?
* * * * *
* * * *
Inspiré par L’eau maudite
http://www.lejournaldepersonne.com/2014/07/leau-maudite/
La faux rôde dans l’eau,
Autour de la gorge agitée,
De la terre au ciel, à la terre,
Chemine, forge l’étau.
A la source du vital en mire,
Nulle bénédiction dans l’ocre.
Avec, l’illumination dans les éclats
Ne peut passer le mur du rire.
A l’eau le ciel sans prix détourné,
Sur le chemin de l’opposition,
Dénude la différence aux os,
Par la peau bénie rattrapés
Dans les nuages en feu,
Les murmures s’élèvent
Contre l’humour des dorés,
S’espère le jour radieux.
* * * * *
* * * *
Inspiré par Mentalist
http://www.infoscenariodepersonne.com/mentalist/
Inspiré par Je change les règles !
http://www.infoscenariodepersonne.com/change-les-regles/
Dis, ne vois-tu pas l’enfer sur terre qui danse
A travers les bombardements des paradis,
Nuages rouges qui menacent l’espérance,
Où les assassins sont de tous les parvis ?
Dis, ne vois-tu pas que côté pile ou face,
Il y a des victimes qui n’ont rien demandé,
Si ce n’est de vivre sans aucune menace,
Et nous, spectateurs de toutes ces atrocités ?
Dis, vois-tu le paradis du ciel qui danse
A travers l’horizon où s’éteint l’enfer,
Nuages embrasés par ombre d’essence
Où s’envole toute la beauté de nos airs ?
Dis, vois-tu toutes ces étoiles qui brillent
Pour toi, pour moi, pour nous, toujours présentes,
Que l’on peut (ac)cueillir jusqu’au fond de la quille
Et nourrir, offrir en fleurs aimantes ?
Dis, ami(e), étranger et autre de moi,
Sais-tu que toute la misère peut avoir une fin,
Que l’infâme qui fait couler le sang sans faim
Est comme marionnette dont on peut couper la « loi » ?
Dis, ami(e), étranger et autre de moi,
Sais-tu que l’on peut se lever, tendre nos poings
Pour faire tomber le voile qui nous laisse coi
Et tracer une voie pour les cimes des deux-mains ?
Dis, ami(e), étranger et autre de nous,
Sais-tu tous les mensonges dont on s’est abreuvés,
Tout le mal dont on a laissé « corps » pour juste des sous,
Pour un plaisir éphémère au sens insensé ?
Dis, ami(e), étranger et autre de nous,
Sais-tu ce qui se passe vraiment à Gaza et ailleurs,
A quel point des peuples souffrent en ces heures
Parce qu’on s’est endormis dans cette matrice « jusqu’au cou » ?
Dites, savez-vous, au fond, je n’en sais rien,
J’aspire, j’espère, je transpire poussière de rêves ;
Puisse se faire, pour chacun se tracer le chemin
Vers un demain où ne sera pas souillée la sève.
Dites, savez-vous, au fond, je n’en sais rien,
J’aspire, j’espère, je transpire poussière d’étoiles ;
Puisse se réaliser, pour chacun se former heureux demains,
Sans oublier de se lever pour tout ce(ux) qu’il y a au-delà du voile…
Pour une terre que nous avons polluée,
Pour les peuples qui se font décimer,
Pour les créatures que nous avons égorgées,
Pour nous que nous avons laissés enchaîner…
Et si on changeait le monde ? : http://pascal.lamachere.free.fr/index.php?category/Et-si-on-changeait-le-monde
Le changement par l’assiette : http://www.lejournaldepersonne.com/2013/02/le-changement-par-lassiette-p-lamachere/
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Dans un regard
Inspiré par Les yeux de Gaza
http://www.infoscenariodepersonne.com/les-yeux-gaza/
Dans un regard, la douleur d’un peuple,
L’expression, la survie de l’innocence
Qui bondit, rugit des maux en silence,
Trouve une voix contre ce qui la dépeuple.
Les mots d’un drame, racines sous l’incandescence,
Un ciel qui tourne, assomme, renverse les falaises,
La faux qui court à travers champs, gâche la genèse,
Des demeures dissoutes dans la déliquescence,
Dans un regard.
L’envie de vivre par-delà, souffle sur braises,
De faire surgir la flamme hors de la glaise,
De rendre hommage aux bras qui l’ont portée,
A l’essence des couleurs qui l’ont élevée,
De les brandir pour fin du temps de la fournaise,
Dans un regard.
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Inspiré par Du côté de chez soi
http://www.infoscenariodepersonne.com/du-cote-chez-soi/
A côté de nos âmes étoilées,
des failles,
l’ombre de combats,
le fleuve qui coule, érode,
dépose çà et là le limon,
des diamants et des charbons,
des réactions face aux différences dé-voilées
dans le jeu des miroirs,
pile aux effets,
et qui creusent un peu plus le lit des torrents ;
des torches et des mains qui pansent les plaies,
des coeurs qui étanchent la soif d’eau clarifiée,
des yeux qui lèvent, soulèvent, portent les cieux,
des souffles qui apaisent les tempêtes,
des aspirations à partager le pain,
aux actions solidaires incarnées,
à respecter le bout de l’autre,
des genoux qui appellent le meilleur,
des voeux à faire plier les vendeurs d’armes,
les marchands de sable empoisonné,
les poseurs de code barre sur tout ce qui existe,
les vampires prêts à spolier les pays,
à aspirer leurs terres et leur ciel
sans se soucier des tombes qu’ils creusent,
du fleuve qu’ils détournent, rendent abysses ;
et des volontés à écrire suite de l’Histoire
et poser sur l’horizon
les promesses d’un grand soir
pour la vie de chaque créature sur le parvis,
les beautés de la nature,
les portes ouvertes sur l’infini…
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Inspiré par À bout de souffle
http://www.infoscenariodepersonne.com/bout-souffle/
Souffle impalpable
Caresse, apaise l’esprit,
Musique d’âme
Mélodie du cœur
Suit le rythme, lie notes,
Vol vers mystère
Doigts des étoiles
En retracent un bout vers vie,
Don qui s’offre en tout,
Jusqu’au champ ouvert
Où se joint et concentre
Le sens recueilli.
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Inspiré par Bar Académie : PLATON
http://www.infoscenariodepersonne.com/bar-academie-platon/
Flamme divine,
Autour danse son ombre,
Projette le ciel
Au point sensible,
Les rayons d’or intérieur
Subliment, guident
Dans la nuit, brume,
Vers l’étoile, sommet clair,
Cime résonnante
Soif et faim sans fin,
Retenus par vergogne,
Sondent l’infini
L’essence qui lie,
Relie idées, haut, tout autour
Flamme divine
* * * * *
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Inspiré par LA GAUCHIASSE
http://www.infoscenariodepersonne.com/gauchiasse/
La rose si belle,
Côté cœur,
Le jardinier si oublieux
Côté ficelles,
Ses selles en fleur,
Laisse peu de marge aux cieux.
La rose si belle
Voltige, bat des ailes,
Pour survie, manifeste par épines,
Le jardinier sur le reflet de terre,
Le terreau fertile hors de la serre,
N’écoute le flux de l’échine.
La rose si frêle et si forte
Murmure ses souhaits aux vers,
Aux pieds du prochain,
A la tête de la prochaine cohorte,
Le jardinier, un pied dans les fers,
L’autre pour soi, verse le sang au malin.
La rose si frêle et si forte
Cueille les songes,
S’y écueillent illusions mortes,
Les ombres, elle longe,
De son reste de lumière toile la mire,
Le jardinier y est appelé à s’y ressaisir.
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Inspiré par Des soumis et des hommes
http://www.infoscenariodepersonne.com/soumis-hommes/
L’oiseau vol au vent,
Libre de suivre courant,
Déployer ailleurs
Partir, revenir,
Essence de liberté
Portée par ailes
Nourrit les demains,
Fait fleurir des étoiles,
Pose ciel dans nid
Fait cours de sa vie
Sous le regard de cime,
Grandit l’essentiel.
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Inspiré par Une porte qui s’ouvre…
http://www.infoscenariodepersonne.com/porte-souvre/
Une porte qui s’ouvre sur les autres, le cœur sur la main,
Les cieux détournés du fond de l’abîme,
Les pétales, tournés vers les murmures, tissent les liens
Dans la demeure où rentre l’air des cimes.
Une porte qui s’ouvre avec les braises de la piété,
Refuge pour les âmes navigant
Sur les flots de la vie, par le souffle les ravivant,
Dans l’essentiel trouvent la satiété.
Une porte qui s’ouvre avec la clef intérieur
Et la main du destin incarné,
La fortune hors des poches et richesse embrasée,
Apporte des horizons chanteurs.
Une porte qui s’ouvre vers la nécessité
Du voyage des ardents empreints de respect,
Les ténèbres retenant, contournant, repoussant,
Forge l’éclat du foyer béni hors du temps.
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Pour L’essence sans plomb
http://www.infoscenariodepersonne.com/lessence-plomb/
Contes de faits défilent,
Des se fondent dans des fils
Rassemblés pour une création,
Trame qu’une baguette tisse
Avec son encre élévatrice.
Moteur, ça tourne, action :
L’essence donne l’horizon,
Des abîmes aux cimes, dans l’interstice,
La fée avive, les voix donnent corps, font résonner
Le chemin vers les sens spectateurs qui recréent.
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Inspiré par France sous influence
http://www.infoscenariodepersonne.com/france-influence/
Ô géants du monde,
Voyez-vous à vos souliers
Les sillons écarlates,
Vos créations immondes,
Les os et les cendres rongés,
Les rondes rendre plates ?
Ô géants du monde,
Voyez-vous au-dessus,
Le ciel ouvrir les nues
Vers les fosses, catacombes
Qui pèseront sur vos âmes,
Vous entraîneront dans les flammes ?
Ô géants du monde,
Voyez-vous l’horizon
De vos collaborations
Qui engouffrent les colombes,
Enflamment fils de Palestine,
Et nous à tenter de décourber l’échine ?
Ô peuples du monde,
Du coq, des aigles, toute la cohorte,
Nous dresserons-nous avant l’heure morte
Pour libérer la féconde,
Faire tomber un autre mur de la honte
Et mettre fin aux tontes ?
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Inspiré par L’eau maudite
http://www.lejournaldepersonne.com/2014/07/leau-maudite/
La faux rôde dans l’eau,
Autour de la gorge agitée,
De la terre au ciel, à la terre,
Chemine, forge l’étau.
A la source du vital en mire,
Nulle bénédiction dans l’ocre.
Avec, l’illumination dans les éclats
Ne peut passer le mur du rire.
A l’eau le ciel sans prix détourné,
Sur le chemin de l’opposition,
Dénude la différence aux os,
Par la peau bénie rattrapés
Dans les nuages en feu,
Les murmures s’élèvent
Contre l’humour des dorés,
S’espère le jour radieux.
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Inspiré par Mentalist
http://www.infoscenariodepersonne.com/mentalist/
Cher mental,
Tu sais les traces sur le chemin, les creux, les plaies effacées, l’histoire des fantômes, des statues, des cendres dans le jardin, le fossé, les rivières contenues près de la source, les tempêtes, les éclaircies, auxquels tu as participé tel un charpentier, créateur de ponts, de voies pour aller à la rencontre de l’inconnu, à la frontière du connu, ne pouvant même l’effleurer en substance, le regard porté vers la cime.
Tu as créé, suivi des routes, embrasé le lointain, m’a guidé loin des obstacles, détourné, tourné, renversé, contourné, comme un marin qui navigue en se fiant aux lumières d’en haut, sans pouvoir jamais arriver à l’horizon, ni connaître précisément la destination, si ce n’est imaginer la demeure au sommet de la montagne, où les étoiles fleurissent dans les champs du ciel.
Créateur d’un fil d’Ariane intangible, de filantes, de problèmes et de solutions, tu décortiques, forges et dénudes le mécanisme du vivant sans pouvoir t’y glisser. Tu poses le reflet dans le miroir, sans l’être. Tu es les mots sur un océan de pages blanches, les contours d’un grain de poussière dans l’univers. Tu es la forme que tu te donnes, semblable à un sculpteur qui se sculpte et sculpte l’idée du dehors, au mieux quand guidé par le cœur, en accord avec. Tu es le peintre de l’image au-delà du miroir, sans être capable d’en connaître les couleurs. Tu es l’écho de l’écume d’un océan infini, un assemblement de notes sur des partitions jouées simultanément dans le silence, notes qui ont ainsi l’ordre que tu choisis, saisis, me laisses entrevoir, entendre par ta voix. Ou que je te permets de glisser dans mes sens ?
Merci de me permettre de tenter de savourer dans l’interstice de ta manifestation, entre deux notes, la grâce, de tenter de sentir l’essence, respirer la fragrance de la présence de l’absolu, du tout en un, de voyager et demeurer dans l’instantanéité au bord, face à l’insaisissable mystère du très haut.
A bientôt !
Tu sais les traces sur le chemin, les creux, les plaies effacées, l’histoire des fantômes, des statues, des cendres dans le jardin, le fossé, les rivières contenues près de la source, les tempêtes, les éclaircies, auxquels tu as participé tel un charpentier, créateur de ponts, de voies pour aller à la rencontre de l’inconnu, à la frontière du connu, ne pouvant même l’effleurer en substance, le regard porté vers la cime.
Tu as créé, suivi des routes, embrasé le lointain, m’a guidé loin des obstacles, détourné, tourné, renversé, contourné, comme un marin qui navigue en se fiant aux lumières d’en haut, sans pouvoir jamais arriver à l’horizon, ni connaître précisément la destination, si ce n’est imaginer la demeure au sommet de la montagne, où les étoiles fleurissent dans les champs du ciel.
Créateur d’un fil d’Ariane intangible, de filantes, de problèmes et de solutions, tu décortiques, forges et dénudes le mécanisme du vivant sans pouvoir t’y glisser. Tu poses le reflet dans le miroir, sans l’être. Tu es les mots sur un océan de pages blanches, les contours d’un grain de poussière dans l’univers. Tu es la forme que tu te donnes, semblable à un sculpteur qui se sculpte et sculpte l’idée du dehors, au mieux quand guidé par le cœur, en accord avec. Tu es le peintre de l’image au-delà du miroir, sans être capable d’en connaître les couleurs. Tu es l’écho de l’écume d’un océan infini, un assemblement de notes sur des partitions jouées simultanément dans le silence, notes qui ont ainsi l’ordre que tu choisis, saisis, me laisses entrevoir, entendre par ta voix. Ou que je te permets de glisser dans mes sens ?
Merci de me permettre de tenter de savourer dans l’interstice de ta manifestation, entre deux notes, la grâce, de tenter de sentir l’essence, respirer la fragrance de la présence de l’absolu, du tout en un, de voyager et demeurer dans l’instantanéité au bord, face à l’insaisissable mystère du très haut.
A bientôt !
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Inspiré par Israël and Coke
http://www.lejournaldepersonne.com/2014/07/israel-and-coke/
Dominos lignés
Font l’auto-reproducteur,
L’écran dans les fils
Les plans dans l’ombre,
Qu’importe marque des freins,
Graines des piments
Tant que se monte
Sur l’engin en roue libre,
Pour metteurs en scène
Tirent ficelles,
Façonnent le superflu,
Gorges avides
L’airain explose,
Des bâtiments en fumée,
Cendres en larmes
© Pascal Lamachère
Commentaires
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