Blog littéraire, artistique de Pascal Lamachère

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mardi, mai 6 2008

Les étoiles artistes du cirque Pinder

Le cirque Pinder avait rendu visite aux Toulousains en février-mars et avait élu domicile non loin du Zénith. Cela faisait… pfiou, tout ça que je n’étais “allé” au cirque, je sais même plus s’y j’y étais allé une fois dans ma jeunesse, sûrement. Bref, toujours est-il que j’ai profité d’une occasion qu’on m’offrait pour assister à une représentation…

C’était en début d’après-midi du 27 février 2008… Durant près de deux heures le spectacle rodé du cirque, avec quelques imprévus, a été au “rendez-vous” par l’entremise de monsieur Loyal, des clowns, jongleurs, acrobates, trapézistes, des dresseurs et de leur ménagerie… Quelques fauves se chamaillant avant l’arrivée de leur maître ont fait quelques légères frayeurs au public des premiers rangs (enfants et adultes), ainsi qu’un éléphant qui avait été effrayé par le passage d’un chien à l’extérieur du chapiteau, alors qu’on l’amenait sur la piste, et dont le stress était très… communicatif. Le “mythe” de l’éléphant qui prend peur à la vue d’une souris dans les dessins animés n’est pas qu’une légende urbaine.

Ci-après quelques photos… dont la première qui n’a rien à voir. Je la mets là car je l’ai prise sur le chemin, à une 20ène de mètres du chapiteau. En voyant l’affiche j’avais pensé à l’excellente série Six Feet Under - Six pieds sous terre - et hésité à lui consacrer une note à part. Mais un peu par flemmardise, je dois l’avouer, et aussi parce que je me suis dit que je pouvais l’intégrer à ce “message-article” résumant cette petite virée “loisir”, j’ai décidé de l’y compiler… Alors je compile ici ;p :



photographie affiche pompe funèbre : la qualité du service public 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 qu'il y a d'inscrit sur cette affiche dédiée aux pompes funèbres municipales

“La qualité du service public 24 heures sur 24, 7 jours sur 7” qu’il y a écrit sur l’affiche. Prévenants à Toulouse, vous trouvez pas ? ;o



photographique queue devant le guichet cirque Pinder

Je mets cette photographie ici pour symboliser la “route vers les étoiles du cirque”, mais je me dois de préciser que je l’ai prise à la sortie : cette attente était pour la représentation suivante.



photographie billet du cirque Pinder


photographie entrée du public cirque Pinder


photographie d'acrobates musiciens


photographie d'une jeune artiste acrobate débutant parmi les étoiles du cirque Pinder

Cette jeune artiste a été “débauchée”, repérée et embauchée par le cirque Pinder au cours d’un “festival” où se représentent les jeunes artistes du cirque (si j’ai bon souvenir il s’était déroulé à Monaco, mais je n’en suis pas certain).



photographie gag robot clown serveur


photographie de trapézistes


photographie de lions, lionnes, tigres, tigresses et leur dompteur

Le spectacle des fauves nous a été présenté par monsieur Loyal comme étant celui où il y en avait le plus en même temps au sein de la cage, sur la piste, et vu la place que prennent ces “bestioles”, ces gros matous et le danger qu’ils représentent même castrés, je veux bien le croire ^^. Ceci dit, malgré la légère frayeur évoquée au début et le côté peu rassurant de certains animaux faisant mumuse avec le filetde “protection” du haut, c’était assez fascinant de voir le dompteur évoluer parmi eux avec une assurance d’acier, un aplomb certain, ainsi que de voir ce qu’il arrivait à leur faire faire, et même ce que certains faisaient sans lui (on a pu assister à une scène de mamours que je n’ai “malheureusement” pas eu le réflexe de prendre en photo).


photographie de lions, lionnes, tigres, tigresses allongés, alignés, et leur dompteur


spectacle à la Tarzan et Jane


photographie d'un jongleur de balles


photographie des fameux éléphants

Cela faisait quelques années qu’ils (elles) ne s’étaient pas produit(e)s sur la piste du cirque Pinder, une de ces deux vedettes, devinez laquelle, en a fait “qu’à sa tête”.



photographie de tous les artistes réunis en même temps sur la piste du cirque Pinder pour saluer le public


Dans l’instant éphémère, beauté d’une filante,
Les étoiles dans les yeux et le coeur sur la piste,
Artistes éveillent les âmes d’enfants…

© Pascal Lamachère - Février 2008

mercredi, avril 9 2008

Toulouse en rouge et noir ou une histoire de rugby

Tou­louse est une ville de rugby, ne pas en “par­ler” sur ce blog serait comme une héré­sie que je cor­rige aujourd’hui. Autant en foot­ball le TFC - Tou­louse Foot­ball Club - a bien du mal à riva­li­ser avec les grands clubs fran­çais, autant le Stade tou­lou­sain est en quel­que sorte le club, l’équipe de réfé­rence depuis belle lurette. Point de chau­vi­nisme, les résul­tats sont là : ils ont gagné 3 fois la coupe d’Europe, 16 fois le cham­pion­nat de France, 3 fois la coupe de France…

Diman­che der­nier j’ai eu la chance - merci grand frère - d’assis­ter à un de leurs matchs, un 1/4 de final se dis­pu­tant dans le cadre de la coupe d’Europe. Sous un ciel som­bre mais clé­ment d’avril, sans grands abats de pluie, à gui­chet fermé, les “lions” rou­ges et noirs sont vite ren­trés dans le bain en met­tant un essai et ont ter­miné en “gran­des pom­pes” à en don­ner le blues au Car­diff Blues (score final : 41 à 17). Entre temps il y a eu une pre­mière mi-temps ser­rée et quel­ques moments de fébri­li­tés, mais les joueurs du Stade tou­lou­sain ont tou­jours su gar­der l’avan­tage. Bref, y con­nais­sant pres­que autant en rugby qu’en Quid­ditch pour mol­dus, je ne me per­met­trai pas une ana­lyse plus pous­sée, donc trêve de babillage, ci-après quel­ques pho­tos…


photographie du Stadium municipal de Toulouse avec guichets internet pour la coupe d'Europe de rugby à 15

Le stade de l’équipe de rugby est le stade Ernest-Wal­lon - ex-parc des Sports puis stade des Sept Deniers - et dis­pose de 19 500 pla­ces. Cepen­dant, pour les gran­des occa­sions comme la Coupe d’Europe de rugby à XV (Coupe Hei­ne­ken), des matchs du Top 14 (pre­mière divi­sion pro­fes­sion­nelle), des tests matchs… ils jouent au Sta­dium qui a une capa­cité de 36 508 pla­ces. Aussi, c’est ce der­nier qui a été “cap­turé” pour vos yeux.

photographie de l'intérieur du Stadium municipal de Toulouse avec couverture journal esprit oval

Nous som­mes arri­vés au moment de l’ouver­ture et le stade était donc qua­si­ment vide. Vous pou­vez voir en pre­mier plan un jour­nal gra­tuit offert à l’entrée des fouilles, jour­nal détaillant le match du jour, les for­ces des deux équi­pes… Au fond, des siè­ges en blanc “ins­cri­vent” le sigle du club de foot : TFC.

photographie de l'entrée des jeunes artistes d'une association, école de cirque toulousaine

Un peu plus d’une demi-heure avant l’ouver­ture des “fes­ti­vi­tés”, un petit “spec­ta­cle” à base de jon­gle­ries, acro­ba­ties… pour nous faire patien­ter.

photographie de la mascotte de l'équipe de rugby de Toulouse, un lion près des joueurs de Cardiff Blues

La mas­cotte de l’équipe de Tou­louse défile en “ter­rain ennemi”.

photographie des drapeaux géants toulousains des supporters de l'équipe de rugby, stade toulousain

Les équi­pes vont ren­trer sur le ter­rain, le stade est plein, les sup­por­ters sont chauds, les dra­peaux géants sont dérou­lés pen­dant la pré­sen­ta­tion des joueurs sur l’écran et via le “micro”.

photographie d'une mêlée entre les rugbymans, les joueurs de Cardiff Blues et le Stade toulousain

Une mêlée en pre­mière mi-temps, un bal­lon qui va être rouge et noir…

photographie d'un drapeau toulousain avec l'écusson, le logo, agité par un supporter

Les sup­por­teurs sif­flent les “mau­vai­ses” déci­sions de l’arbi­tre et encou­ra­gent les joueurs à coup de olas aux­quels les sup­por­ters bleus de Car­diff Blues se sont gen­ti­ment joints de temps en temps, d’applau­dis­se­ments en rythme, de sau­ta­ges, de “chants guer­riers” comme “qui ne saute pas n’est pas tou­lou­sain” (un peu “iro­ni­que” quand on pense à AZF), d’agi­ta­tions de mains, d’agi­ta­tions de dra­peaux. J’ai “cap­turé” un peu tout ça en photo mais je n’ai pas pu me “poser” pour bien ren­dre l’ambiance qui a été pré­sente du début à la fin, donc je me con­tente de “pos­ter” un dra­peau qui fait cou­cou aux joueurs.

photographie d'un essai en cours de transformation du stade Toulousain

Après un essai, vient le temps de la trans­for­ma­tion…

photographie d'un essai transformé avec un ballon de rugby bien au dessus des transversales

…qui a rare­ment été man­qué… La fin du match n’était pas loin, la vic­toire assu­rée.

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